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Manhattan medea à la Colline à partir du 21 janvier 2010

Agenda, Paris, Théâtre

New York, Manhattan, devant l’entrée de service d’une riche maison de la Cinquième Avenue, Médée attend, seule.

Vingt-cinq siècles après la Corinthe d’Euripide, amoureuse du même Jason, elle est toujours rebelle, passionnée, utopiste même, au coeur d’un nouvel empire.

Depuis combien de temps est-elle là ? Une éternité à attendre qu’une porte s’ouvre. Est elle tout à fait humaine ? Un fantôme peut-être ? Tant de Médées l’ont précédée, il doit bien y avoir un fantôme quelque part : “Votre contour au même endroit. Est-ce de la chair et du sang ? ”

Mais à New York, aujourd’hui, on ne croit plus aux fantômes. Médée de Manhattan n’est pas une prêtresse au savoir terrifiant, ni la petite-fille du Soleil. Celui qu’elle attend, Jason, n’est pas le héros d’une quête fantastique.

Dans Manhattan Medea, Médée et Jason sont tous les deux des étrangers, des clandestins, des sans-papiers fuyant la guerre pour survivre. Un mac et sa putain unis dans leur errance.

Et cependant la tragédie de Dea Loher, ancrée dans son époque, reste fidèle à celles  d’Euripide et de Sénèque. La fin des mythes a sonné depuis longtemps mais le sacré n’a pas disparu. C’est le regard posé sur une photo d’exilés prise sur Ellis Island que Dea Loher a composé sa tragédie. Une tragédie de la passion et de l’exil.

Extrait du dossier de presse

de Dea Loher

traduction de l’allemand Olivier Balagna et Laurent Muhleisen

mise en scène Sophie Loucachevsky

collaborateur artistique André Antebi

scénographie Jean-Pierre Guillard

costumes Christine Brottes

vidéo Fred Koenig

lumière Nathalie Perrier

musique Marcus Borja

coiffures et maquillage Catherine Saint-Sever

assistant mise en scène Sébastien Chassagne

avec Anne Benoit, Marcus Borja, Christophe Odent  

Petit Théâtre

du 21 janvier au 20 février 2010

du mercredi au samedi à 21h, le mardi à 19h et le dimanche à 16h

production

La Colline — théâtre national, Compagnie Les Amis de…

avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Île-de-France

Le texte a paru à L’Arche Éditeur (2001) qui en est le représentant théâtral.

La version scénique de Sophie Loucachevsky est jouée par trois acteurs

(la pièce de Dea Loher présentant à l’origine six rôles distincts).

31 décembre 2009/par Dossier de presse
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