Le THÉÂTRE DU TRAIN BLEU a été fondé par Quentin Paulhiac, Charles Petit et Aurélien Rondeau. Tous trois comédiens, ils viennent de la scène et ont l’ambition de créer un lieu rêvé. Un lieu dans lequel les projets seraient accueillis avec attention, encouragement et accompagnement.
Le THÉÂTRE DU TRAIN BLEU est un nouveau-né. Il a la malice et l’audace de sa jeunesse, sa faculté à s’émerveiller. Il est turbulent et joyeux. La curiosité est son ADN. La diversité de la création contemporaine est son moteur. Favoriser toutes les nouvelles formes d’écriture et d’expression, œuvrer à l’émergence de nouveaux projets et en faciliter l’épanouissement, telle est sa réjouissante ambition. Il encourage et favorise les rencontres et les échanges entre le public, les artistes et les professionnels. Il s’affirme comme un espace de créations du désir et non de créations du besoin.
Le THÉÂTRE DU TRAIN BLEU – 40 rue Paul Saïn – met à disposition des équipes un lieu de création pour que les spectacles puissent pleinement se déployer dans leurs singularités et leurs exigences artistiques.
10H00 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – LES JOURS PAIRS – Durée 1h05
KITCHEN BLUES
d’après Femmes en face d’un homme silencieux de Jean-Pierre Siméon / m.e.s. Clémence Longy Rhapsodie électro-ménagère
En plein cœur d’une mégalopole internationale, derrière des volets fermés, une femme vit seule. Cette femme, c’est Clara. Dans sa forteresse imprenable, mais néanmoins poreuse aux bruits de la ville, elle aura, le temps d’une nuit, sept vies, sept identités.
KITCHEN BLUES est un hymne à la solitude ordinaire. Entre burlesque et tendresse, nous suivons Clara dans le labyrinthe de ses auto-fictions, jusqu’à ne plus savoir ce qui tient du mirage, ce qui tient de la réalité. Avec au bout, une seule certitude : il y a de la poésie dans nos empêchements, de l’humour dans nos échecs, de la beauté dans nos fantasmes.
10H00 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – LES JOURS IMPAIRS – Durée 1h15
TROIS HOMMES SUR UN TOIT de Jean-Pierre Simeon / m.e.s. Antoine Marneur
Le problème n’est plus de savoir ce qu’on attend mais ce qui nous attend.
Trois personnages représentatifs de notre époque – Volonté de Pouvoir, Amour Naïf et Cœur Fourbu – subsistent fébrilement sur un toit entouré d’eau. Tels des rescapés de l’Arche de Noé, seuls survivants à avoir échappé au déluge dévastateur, ils tentent de sauver leur peau et peut-être même – s’ils s’en révèlent capables… – celle de l’Humanité toute entière.
Une farce satirique et une parenthèse poétique où les répliques acérées et l’humour grinçant nous permettent de traverser avec ces trois hommes une sorte de parcours initiatique où chacun se révèlera.
11h45 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – LES JOURS PAIRS – Durée 1h05
JE M’EN VAIS MAIS L’ÉTAT DEMEURE 2017/2018 – L’année judiciaire de Hugues Duchêne / m.e.s. Hugues Duchêne
« La justice est reine en son royaume. » Antonin Bernanos
Il y eut le procès des antifas en septembre et celui d’Abdelkader Merah en octobre. Il y eut l’affaire Weinstein et toutes ses répercussions. Il y eut des plaintes et il y eut le procès Tron. Il y eut la garde à vue de Nicolas Sarkozy et le testament de Johnny. Même Lula finit en prison. Bref, l’année 2017/2018 fut avant tout judiciaire.
Par chance, Hugues Duchêne a passé tout son temps dans les palais de justice, de France, et parfois du Brésil. C’est ce qu’il raconte dans le deuxième opus “Je m’en vais, mais l’Etat demeure : l’année judiciaire”.
11H45 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – LES JOURS IMPAIRS – Durée 1h15
MADE IN AMERICA Pièces courtes de Neil LaBute / m.e.s. Léa Marie-Saint Germain, Adrienne Ollé
« Black Mirror » théâtral sur l’Amérique d’aujourd’hui et de demain.
Le spectateur est invité à découvrir plusieurs pièces courtes de Neil LaBute, écrites à différentes étapes de sa carrière de dramaturge, qui abordent des thématiques centrales de la société américaine : la recherche du bonheur individuel, garanti par la constitution, le vivre ensemble au sein d’une société dans laquelle cohabitent les origines les plus diverses, la colonisation de la nature au nom de la consommation, le « rêve américain » et ce qu’il en reste aujourd’hui.
13h30 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h20
JE DEMANDE LA ROUTE de Roukiata Ouedraogo et Stéphane Eliard / m.e.s. Stéphane Eliard
Sans tabou, elle ose parler de tout.
Roukiata met en scène avec dérision et auto-dérision son parcours, riche en péripéties, qui la mène de son école primaire en Afrique aux scènes de théâtre.
Chacune de ses aventures est l’occasion d’une réflexion drôle et délicate sur les décalages culturels entre la France et l’Afrique. Elles sont aussi l’occasion d’aborder sans tabou des sujets graves et profonds tels que l’excision, l’éducation et la santé en Afrique ou encore de l’immigration.
La comédienne brocarde avec la même lucidité aiguë mais aussi la même tendresse les deux univers qui se répondent. Au delà des thématiques abordées, c’est un grand moment de tendresse et de rencontre avec son public. Au terme de ce parcours initiatique c’est une Roukiata devenue une femme accomplie et sûre de ses choix qui reviendra au pays, retrouver les siens. A travers toutes ces situations, l’humoriste se moque d’elle (beaucoup) et de nous (un peu).
15H15 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h15
LES ORANGES de Aziz Chouaki / m.e.s. Hakim Djaziri
« Je jure d’enterrer à jamais cette balle, le jour où tous les gens de cette terre d’Algérie s’aimeront comme s’aiment les oranges. »
Alger. Un homme et une femme sont à leur balcon. Ils regardent vivre leur quartier puis racontent l’histoire de leur pays : la colonisation, l’indépendance, Albert Camus, le FLN, le FIS, le chaos, la mort et les espoirs d’un peuple.
Dans une époque troublée où il n’y a jamais eu autant de frontières, où les clivages entre les cultures et les peuples atteignent des sommets, nous créons un spectacle qui participe à rassembler autour d’un conte moderne et éminemment d’actualité. Un conte qui met en lumière la parole d’hommes et de femmes sans âges et sans couleurs qui s’adressent à d’autres hommes et femmes sans âges et sans couleurs
17h05 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 26 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h35
OCCUPE-TOI DU BÉBÉ de Dennis Kelly / m.e.s. Laurent Meininger
Un thriller théâtral, teinté d’humour british, qui tient en haleine le spectateur d’une manière irrépressible et troublante.
Une femme est accusée d’avoir tué son enfant. Elle est condamnée, puis innocentée pour manque de preuves à l’issue de son procès en appel. Après quatorze mois de détention, elle sort libre du tribunal. Inspirée de faits divers, cette pièce du brillant auteur britannique Dennis Kelly est construite comme un scénario de film. On y croise un reporter, un journaliste et un présentateur qui enquêtent. Martin, son mari. Lynn, sa mère, une célèbre femme politique en pleine campagne électorale. Un médecin qui a diagnostiqué chez Donna un bien étrange syndrome… Tout est sans cesse en mouvement. Chacun joue le jeu de la confession et tient son rôle. Mais où est la vérité ? Qui la détient ? Quand elle touche à l’impensable, peut-elle vivre sans le mensonge ?
19h10 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h00
BATMAN CONTRE ROBESPIERRE de Alexandre Markoff / m.e.s. Alexandre Markoff
Assistez à la chute de Jean-Claude Barbès, un type qui n’avait pourtant jamais rien fait de mal.
Jean-Claude Barbès est un type bien qui n’a jamais rien fait de mal. Il a une femme, un fils, un appartement, un banquier, un emploi, des repas en famille avec son beau-frère le samedi. Bref, il a tout. Mais il va tout perdre sans comprendre pourquoi. Vous voulez savoir comment ? Venez vous divertir et assister à sa chute, puisqu’il paraît qu’on rit beaucoup mieux du malheur des autres…
20h40 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 26 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h20
FUCKING HAPPY END ! # Règlement de conte(s) de Sarah Fuentes / m.e.s. Sarah Fuentes, Jan Oliver Schroeder Une version déjantée et furieusement joyeuse de Peau d’Âne !
FUCKING HAPPY END s’approprie le conte de Peau d’Âne pour donner vie à une comédie déjantée qui pulvérise les idées reçues sur le couple, la famille, la quête du bonheur et tous les autres clichés dans lesquels la société veut nous enfermer.
C’est dans un étrange cabaret, peuplé de créatures évadées de l’univers des contes, que notre Peau d’Âne choisira d’endosser le seul costume désormais à sa mesure : celui de femme libre ! Bref, si vous en avez marre des « happy end » formatés, cette fable contemporaine, loufoque et furieusement joyeuse est pour vous !
22h30 – Salle 1 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h25
NIQUE SA MÈRE LA RÉINSERTION de Elie Salleron / m.e.s. Elie Salleron Par une série de sketchs et de morceaux de rap, la compagnie Rascar Capac dégomme la société contemporaine avec humour, audace et fureur.
NIQUE SA MÈRE LA RÉINSERTION c’est le spectacle qui casse tout : la société marchande, la corruption, le patriarcat, la gauche moralisatrice, les bobos, les patrons, le système et l’antisystème. On vous rassure : on tient à rester classe, intelligents, rieurs, tendres ; quoiqu’il arrive on conserve notre esprit et notre cœur.
Dans ce spectacle il y a aussi du Hip Hop, du rap bien saignant, pour l’amour de la musique et l’hommage à la culture de l’insoumission.
Une succession de sketchs dévastateurs et du rap, la recette est simple. Après son succès parisien, la compagnie Rascar Capac débarque à Avignon avec son spectacle fétiche ; ils veulent en découdre, ils veulent la conquête !
10h00 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 13 JUILLET – RELÂCHES LE LUNDI 9 JUILLET – Durée 1h10
RÉDUIT – LA SAGA THÉÂTRALE d’une paire de voisins naïfs, curieux et bavards de Elizabeth Mazev et Thibault Rossigneux / m.e.s. Elizabeth Mazev avec les regards complices d’Emilie Vandenameele, Pauline Bureau, et Sandrine Lanno Vous pensez connaître vos voisins ? Savez-vous qu’ils racontent autant d’histoires sur vous que vous en racontez sur eux ?
Au 14 rue N. il y a un joli petit immeuble de 4 étages, une petite cour commune arborée sur laquelle donne un réduit poubelle. Cet immeuble typiquement parisien, où il fait doux vivre, est un microcosme pluriethnique aux parfums des tajines de Leïla, de la banitsa de Maïko et des strüdels de Madame Chone, le tout arrosé par le porto de Madame Lisboa. En pastichant ce petit monde, les auteurs montrent qu’une fois de plus l’histoire intime permet de flirter avec l’universel. Leurs voisins pourraient être les vôtres. Les tranches de vie partagées sont touchantes car quotidiennes.
11h30 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h00
FROID de Lars Norén / m.e.s. Romain Bouillaguet, Emmanuel Pic L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté
Un après-midi d’été en Suède, quatre jeunes garçons tempêtent autour de leurs utopies et illusions perdues.
La Suède. Une journée chaude. C’est la fin des cours. Keith, Anders et Ismael boivent, s’enivrent pour combler l’ennui ou la peur du futur. Au-dessus d’eux plane le souvenir d’un quotidien violent vécu depuis la plus tendre enfance, une douleur qu’ils arrivent jusqu’ici à canaliser. Leur seul réconfort, être ensemble, partager les mêmes idées. Karl passe par là. Il représente tout ce qu’ils n’ont pas, une famille, de l’argent, des amis. La chance d’une réussite sociale. A travers lui la haine monte en eux, pas seulement celle de l’étranger mais celle du monde capitaliste globalisé dont ils croient pouvoir sauver leur pays. Ils vont donc lui déclarer la guerre.
12h50 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h10
LE PROJET GEORGES de Edith Proust / m.e.s. Edith Proust avec la collaboration artistique de Laure Grisinger Et si des associations d’idées les plus improbables naissaient nos plus grandes intuitions ?
Georges est un esprit puissant borderline aventurier obsédé scientifique érotomane errant. Pour éviter le doute Georges a des théories. Il se pose des questions plus grandes que, oui mais le très grand est aussi tout petit et inversement, par où commencer ? Comment ne pas se perdre ? Georges a fui les hommes, ou peut-être pas, Georges suit à la trace le flot de sa pensée. Et comme elle ne s’arrête jamais lui non plus. Il traîne derrière lui Joseph – son arbre, 2 mètres de haut sur roulettes. Ensemble ils cherchent l’endroit. Ils explorent les profondeurs enfin les hauteurs pour le moment disons les espaces – l’Espace ? méconnus du monde. Et si c’était là ? L’errance de Georges interroge les mystères, nos fantasmes de nouvelles découvertes, et l’infini que permet l’imaginaire. Et afin que cesse le vertige, notre besoin de l’autre, pour fixer un instant peut-être.
14h20 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h10
KOHLHAAS de Marco Baliani et Remo Rostagno / m.e.s. Julien Kosellek À la frontière du théâtre et du conte, KOHLHAAS nous entraîne au cœur de l’histoire d’un éleveur de chevaux victime de l’abus de pouvoir d’un noble et de la justice.
Michael Kohlhaas, éleveur de chevaux sans problème, est victime de l’abus de pouvoir d’un noble. Abandonné par la justice, il ne trouve plus aucun moyen pour compenser le préjudice que celui de la violence. Monologue à plusieurs personnages et un narrateur, le texte de Marco Baliani et Remo Rostagno questionne avec poésie les mécanismes qui nous entraînent de la naissance de la souffrance vers la violence aveugle. Viktoria Kozlova porte ce récit haletant, à la frontière du théâtre et du conte. Tel une conteuse, l’actrice entraîne le public au cœur de la fable. « Magie de la narration, pouvoir de l’imaginaire, c’est un moment d’exception » Célia Clavel, La Jaseuse.
15h50 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h20
POLAROÏDS de Annabelle Simon / m.e.s. Annabelle Simon Polaroïds est l’histoire de Marie, une fille qui se cherche au milieu de ses souvenirs, de ses modèles féminins et de ses échecs : une quête qui oscille entre sport et littérature, Ricard et Champagne, légendes familiales et contes de fées. Si chacun des textes composants Polaroids est écrit comme un instantané de vie, ils seront vécus comme des épreuves par la comédienne au plateau. Le public assistera ainsi à une succession de performances, chacune laissant son empreinte, sur la comédienne, dans l’espace et donc dans le regard des spectateurs. De cette accumulation de traces finira par émerger le dessin final de notre personnage, la personne qu’elle est aujourd’hui comme un nouveau polaroïd….
17h30 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h15
UN JOUR J’AI RÊVÉ D’ÊTRE TOI de Anaïs Muller et Bertrand Poncet / m.e.s. Anaïs Muller et Bertrand Poncet À l’image de notre société narcissique où le selfie est devenu plus qu’un réflexe, un art de vivre, Ange et Bert, victimes de leur égocentrisme, se perdent et se ridiculisent.
UN JOUR J’AI RÊVÉ D’ÊTRE TOI est une écriture contemporaine. C’est une mise en abyme du théâtre où les codes de représentations sont déjoués afin de mettre en exergue le puissant narcissisme dans lequel notre société est plongée.
19h05 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h15
À FOND de Lucas Hénaff / m.e.s. Lucas Hénaff A travers le récit un peu banal du départ d’un jeune “provincial” pour la capitale, A FOND donne à voir une réalité qui, par son apparente insignifiance, demeure à la marge d’un monde où réussite et vitesse semblent érigées en valeurs dominantes.
Alex et Rémy, deux jeunes hommes “moyens”, issus d’une commune sans doute “moyenne”, semblent passer leurs journées assis au bord d’une voie ferrée, à regarder les trains. Luc, lui, tout aussi “moyen”, prend le TGV pour partir à Paris. Au wagon-bar, il rencontre Marion, apparemment parisienne. “C’est tout ?”, pensez-vous peut-être. – Quasiment. “Mais c’est insignifiant votre truc…” – Précisément. “Dites-en plus !” – Ben on va pas tout dire non plus. “Mais ensuite ? Ca raconte quoi ?” – Ben, devinez. “On veut savoir !” – On peut pas tout savoir dans la vie. “Ben on viendra pas.” – Ben ok. “Super !” – Ben oué. “Super !” – Ben oué. C’est comme ça.
20h40 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h15
FANTASIO d’Alfred de Musset / m.e.s. Arthur Weil
« C’est tout un monde que chacun porte en lui, un monde ignoré qui naît et qui meurt en silence. » Fantasio, Acte I, scène 2
Un soir à Munich, Fantasio, un joyeux vagabond qui traîne son spleen dans les rues de la ville, décide sur un coup de tête de se faire bouffon du Roi de Bavière. Il transporte avec lui le public qui le suit dans les couloirs d’un château, avec une princesse qui rêve de liberté et qui est condamnée à épouser un prince qu’elle ne connaît pas pour la paix du royaume, une gouvernante folle des romans d’amours et un prince fantoche qui voudrait être aimé pour lui-même. Fantasio nous rendra témoin des coulisses du pouvoir, où l’avenir d’un peuple ne se joue pas sur le plan politique, mais sur des histoires bien humaines, entre peines de cœurs, rêves, désirs et égos. Et pour une fois, la solution viendra d’un coup de folie
22h15 – Salle 2 – DU 6 JUILLET AU 29 JUILLET – RELÂCHES LES LUNDIS 9, 16 ET 23 JUILLET – Durée 1h30
PLAY LOUD de Falk Richter / m.e.s. collective (collectif Géranium) L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte représenté Faire un concert de nos secrets, de ce qui doit être tenu caché, chanter, danser et par-dessus tout, rire mon amour, rire pour ne pas pleurer. »
A la manière d’un album, PLAY LOUD se construit à partir de vingt tableaux incluant textes et chansons jouées en live. De Black Eyed Peas à Gala en passant par Jacques Brel, la playlist du spectacle fait référence au passé de chacun avec nostalgie, humour et tendresse, avec violence parfois, avec amour souvent. PLAY LOUD est une traversée de différentes histoires où le but est de revenir aux sources des rapports humains. Faire le lien. Fonder une famille. Combler l’absence. Tenter d’exister, en faire une réalité.
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