L’ombre fait écho aux peurs premières liées à l’obscurité. Dans l’enfance, le monde de l’ombre, par son apparence mouvante, instable, à la fois visible et impalpable provoque l’angoisse et la fascination. Sa compréhension est une première victoire sur le monde, sur soi et sur ses peurs.
Sa maîtrise ouvre les portes de la magie. Une métaphore de l’illusion du monde.
Sur un plan plus symbolique encore, l’ombre découvre, au sens où elle fait apparaître, la dualité de l’être. Le blanc et le noir sont plus que frères, ils sont mêmes. Le noir est le blanc, le blanc est également le noir. L’un ne peut être sans l’autre, même si l’autre ne se voit pas toujours. Reconnaître sa présence, même invisible, c’est se découvrir soi. Extrait de la note d’intention d’après dossier de presse.
LE MONSTRE DU COULOIR
Un spectacle de la compagnie coMCa
Texte : Valérie Trazic – Mise en scène : Emmanuelle Trazic
Création sonore: Jean-Laurent Cayzac
Création lumière : Emmanuelle Trazic et Jean- Laurent Cayzac
Décors, costumes et accessoires: Emmanuelle Trazic
Conseil, OEOEOEOEil extérieur : Olivia Machon
Avec : Emmanuelle Trazic
CREATION 2013
Du 9 janvier au 6 février les mercredis, samedis, dimanche à 15h, à l’Atelier de la Bonne Graine (Paris XI)
Du 11 au 27 mars à 14h30 à la Péniche-Théâtre de la Baleine Blanche (Paris XIII), avec des journées off.
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