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Le mardi où Morty est mort de Rasmus Lindberg par François Rancillac

Agenda, Paris, Théâtre

© Jean-Louis Fernandez

Un soir au coin du feu, papy Johan pique du nez dans son café et clamse illico ! Pour comble d’infortune, sa veuve Edith se découvre un cancer foudroyant : plus de passé, plus d’avenir… Quid de son présent ? Sa petite-fille Amanda l’écoute à peine, qui vient de rencontrer le bel Herbert alors qu’elle voulait justement larguer son petit ami, lequel Sonny a autant d’ambition qu’un lémurien au chômage, malgré les encouragements paternels à se rêver une autre vie loin de ce trou perdu, même si ledit père (qui est aussi pasteur) est lui-même au bord de l’implosion et se retient pour ne pas (se) défroquer, bien incapable en tout cas d’aider son propre fils, lequel, fou de rage, décide de dézinguer au fusil celui qui lui aurait volé sa fiancée, c’est-à-dire (vous suivez ?!) Herbert, lequel n’est tombé sur Amanda qu’en courant après son chien Morty, lequel s’était échappé en pleine rue, lassé des sautes dépressives de son maître, lequel a tendance à dire « non » quand il pense « oui » et à regretter aussitôt l’un et l’autre, surtout quand il s’agit de déguerpir d’ici avec cette hystérique d’Amanda qui lui a sauté dessus comme une bombe H sur un village gaulois, pardon : viking, puisque toute l’histoire se passe au fin fond de la Suède, mais bon, les fins fonds, y en a partout, n’est-ce pas ?

Bref, toute cette pagaille, c’est de la faute à Morty, et il le paiera cher, le pauvre cleps ! – tandis qu’Edith s’enverra littéralement dans les airs, et que le public aura couru après tous ces pauvres hères, qui cherchent leur bonheur en se fuyant eux-mêmes, dans un maelström de folie pas douce et d’humour fort noir, où l’espace/temps déraille, les corps se catapultent et les cœurs explosent, à l’image de notre humaine trop humaine humanité. Note d’intention de François Rancillac.

Le mardi où Morty est mort de Rasmus Lindberg

Traduit du suédois par Marianne Ségol-Samoy et Karine Serres (Ed. Espace 34)
mise en scène: François Rancillac
par le Fracas, Centre Dramatique National de Montluçon

avec les comédiens du Fracas :
Julien Bonnet : Johan, le Papa Pasteur, le chien Morty
Maxime Dubreuil : Sonny
Thomas Gornet  : Herbert
Laëtitia Le Mesle : Amanda
Valérie Vivier : Edith
scénographie et costumes : Steen Halbro
lumière : Rosemonde Arrambourg
son et Régie Son : Michel Maurer

décor réalisé au Fracas par Jean-Jacques Mielczarek, Antoine Le Cointe et Pascal-Richtie Pérot, Sébastien Debonnet et Dominique Néollier
Production: Le Fracas, CDN de Montluçon, région Auvergne – Le Théâtre de l’Aquarium

Théâtre de l’Aquarium

du mardi 25 mars au dimanche 13 avril 2014
du mardi au samedi à 20h30, le dimanche à 16h

27 mars 2014/par Dossier de presse
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