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La mort du comédien Pierre Vernier

Actu, Théâtre

Pierre Vernier, Judith Magre, Daniel Ceccaldi et Nelly Borgeaud dans Comédie Passion au théâtre des Champs-Elysées à Paris, le 13 janvier 1983 photo Michel Clément AFP

Le comédien Pierre Vernier, membre de la « Bande du Conservatoire » dans les années 50 avec Jean-Paul Belmondo, Jean-Pierre Marielle ou Jean Rochefort, est mort mercredi à 93 ans, a appris l’AFP samedi auprès de ses proches.

Avec Françoise Fabian, il était l’un des derniers membres encore en vie de la « Bande du Conservatoire », essentiellement formée par des élèves du Conservatoire national supérieur d’art dramatique à Paris au début des années 50. Outre Belmondo, son noyau, elle comprenait notamment Jean Rochefort, Claude Rich, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer ou Annie Girardot.

A sa sortie du Conservatoire, Pierre Vernier (né Pierre Louis Rayer) joue au Théâtre de l’Oeuvre dans Mariera qui voudra de Pierre-Jacques Arrese. Puis débute un compagnonnage avec le metteur en scène Michel de Ré qui le ditribue dans plusieurs pièces. En 1962, il joue à l’Odéon dans Un otage de Brendan Behan, mise en scène de Georges Wilson et La Révélation de René-Jean Clot, mise en scène de Jean-Louis Barrault. Puis en 1969 au Théâtre de la Ville dans Tambours et trompettes de Bertolt Brecht, dans la mise en scène de Jean-Pierre Vincent.

Pierre Vernier faisait partie de ces comédiens dont le nom n’est pas forcément connu du grand public, mais dont le visage et l’allure – haute stature de gentleman, visage rêveur et mèche brune sur le front – lui sont familiers grâce à la télévision et au cinéma. Il tourne dans une soixantaine de films, dont bon nombre de succès populaires au côté de son ami Bébel, comme Le professionnel (1981) ou Itinéraire d’un enfant gâté (1988, dans le rôle d’un curé). Mais il revient régulièrement au théâtre, notamment avec Jean-Paul Belmondo dans Kean de Jean-Paul Sartre d’après Alexandre Dumas, dans la mise en scène de Robert Hossein au théâtre Marigny en 1978, puis dans Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand en 1990.

Il enchaine ensuite les succès sous la direction de Bernard Murat dans Tailleur pour dames puis La Puce à l’oreille de Georges Feydeau.

Sa dernière apparition sur scène remonte à 2007, il donnait la réplique à un autre de ses camarades, Jean-Pierre Marielle dans Les Correspondances de Groucho Marx, mis en scène par Patrice Leconte au Théâtre de l’Atelier.

12 octobre 2024/par Dossier de presse
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