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"La lutine" de Caldéron au Théâtre de l'Opprimé du 3 février au 7 mars 2010

Agenda, Paris, Théâtre

Notes d’intention d’après dossier de presse.

Avec La Lutine, la Cie La Traverse boucle sa trilogie du fabuleux répertoire dramatique espagnol du Siècle d’Or, initiée en 2002 avec Le Chien du jardinier de Lope de Vega et poursuivie en 2007 avec Le médecin de son honneur de Calderon. La Lutine, autrement dite La Dame fantôme, est l’une des comédies classiques espagnoles les plus renommées en Espagne et la plus connue de son auteur. C’est cette pièce qui au 17ème siècle en France a lancé la mode du théâtre espagnol à travers plusieurs belles adaptations, comme L’Esprit Follet ou La dame invisible.

Calderon nous a davantage habitués en France à un univers sombre, avec La vie est un songe, Le Prince Constant ou Le médecin de son honneur. C’est oublier que cet homme de théâtre a écrit de magnifiques comédies de capa y espada, dont cette Lutine, la plus brillante d’entre elles, une Vie est un songe de fantaisie en quelque sorte.

L’intrigue pourrait s’apparenter à celle d’une comédie policière, avec cependant la gravité toujours sous-jacente du sentiment amoureux et du désir de liberté et ce  goût des clair-obscur cher au magicien qu’est Calderon. Il y a le rire que comme toute bonne comédie provoque cette pièce, mais c’est avant tout le charme, la grâce qu’elle distille qui nous retiennent, à travers notamment sa malicieuse ambiance nocturne.

Tout tourne autour d’une armoire à double fond qui permet à l’héroïne, doña Angela, de s’introduire subrepticement dans la chambre du gentilhomme qui l’a secourue et dont elle s’est éprise, don Manuel, et de s’échapper de cette chambre tout aussi « magiquement », pour la plus grande perplexité du jeune homme et l’encore plus grande frayeur de son valet, Cosme qui, lui, croit aux fantômes, plus précisément aux lutins.

Mais à travers toutes les embûches, en particulier la vigilance jalouse des deux frères d’Angela, à travers duels, quiproquos, apparitions, déguisements et sincères confessions des sentiments, l’amour triomphera. Si la vie est un songe, l’amour est ici une fantaisie.

La lutine

Une comédie du Siècle d’Or de Pedro Calderon de la Barca

Mise en scène et adaptation : Hervé Petit

Avec :

Karim Abdelaziz : don Manuel

Charlotte Adrien : doña Béatrice

Caterina Barone : doña Angela

Béatrice Laout : Isabelle

Christophe Mazel : Cosme

Jean-Marc Menuge : don Luis

Antoine Roux : don Juan

Décor et costumes  :  Caroline Mexme

Lumières  : Laurent Vérité

Création sonore : Viviane Redeuilh

Assistanat à la mise en scène : Catherine Perrotte

L’adaptation française de La Lutine est publiée aux Editions de l’Amandier

Avec l’aide du Ministère de la Culture d’Espagne, de l’Ambassade d’Espagne à Paris, de l’Adami, d’Arcadi dans le cadre des plateaux solidaires et du Pôle emploi spectacle

Coréalisation Théâtre de l’Opprimé

 Théâtre de l’Opprimé du 3 février au 7 mars 2010

 78  rue  du  Charolais  75012   Paris                  

(du mercredi au samedi à 20h30 et le dimanche à 17h)

 (M° Dugommier, Reuilly-Diderot ou Gare de Lyon)             

Réservations au 01 43 40 44 44

Prix des places : 16 € ; tarif réduit (étudiants, retraités, habitants du 12ème,demandeurs d’emploi) 12 € ; tarif groupe: 10 €

23 janvier 2010/par Dossier de presse
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1 réponse
  1. DomBurg
    DomBurg dit :
    6 février 2010 à 1 h 30 min

    Histoire confuse.
    On ne retouve pas l’esprit de Calderon dans cette piece trop longue où les quiproquos finissent par lasser.
    Et le jeu des acteurs et la mise en scène sont un peu « datés ».
    Tout cela aurait mérité d’être serieusement dépoussiéré.

    Répondre

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