Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

La Crise commence où finit le langage d’Eric Chauvier par Olivier Balazuc

À la une, Agenda, Saint-Etienne, Toulon, Valence

© Jean-Louis Fer

« Crise économique, structurelle, civilisationnelle, écologique, systémique. Crise de nerfs, crise de l’adolescence, crise de la quarantaine, crise immobilière, crise mondiale. La litanie des maux qui nous assaillent sous ce dénominatif commun de crise est si vaste, si menaçante que, devant l’imminence de la chute, nous semblons seulement pouvoir espérer survivre, comme si le combat était perdu d’avance… Un chef-d’œuvre de scénario catastrophe hollywoodien.

Or le premier symptôme de crise n’est-il pas dans l’impossibilité même de nommer le problème ? C’est la théorie d’Éric Chauvier, anthropologue décapant, qui, reprenant à son compte l’aphorisme de Wittgenstein – « Ce dont on ne peut parler, il faut le taire » –, tente dans ses textes d’appréhender la crise comme une crise culturelle, et plus précisément comme une crise du langage. Inspiré de La crise commence où finit le langage et Que du bonheur, le spectacle met en jeu la crise sous l’angle intime du couple et général du rapport au monde : un couple traversé par le monde, le monde incarné à l’échelle du couple, le corps intime devenant métaphore du corps social et réciproquement. Deux comédiens, un homme et une femme, et un musicien-régisseur, dans un espace qui tiendrait du laboratoire autant que du cabaret. Pour un théâtre d’urgence, frondeur et ludique, épique et joyeux, qui refuse le fatalisme et le catastrophisme ambiant en se revendiquant d’un gai savoir : mettre la crise en crise…

Et si ce qu’on appelle aujourd’hui la crise était une donnée constitutive du vivant ? »

Note d’intention d’Olivier Balazuc

La crise commence où finit le langage et Que du bonheur d’Éric Chauvier (éditions Allia) / Adaptation, mise en scène, scénographie et lumières Olivier Balazuc/ Jeu Olivier Balazuc, Valérie Kéruzoré / Musicien Benjamin Ritter / Concepteur sonore et assistant à la mise en scène Thomas Matalou / Conseil chorégraphique Thierry Thieû Niang/ Conseil à la scénographie Marc Lainé / Avec la complicité artistique de Guesch Patti / Régie générale et jeu Antoine Marseille / Un spectacle de La Jolie Pourpoise / Production Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche

04 AU 08 FÉVRIER 2013 – 20h00

Représentations au Théâtre de la Ville – Valence

13 > 15 février 2013 – Comédie de Saint-Etienne

10 & 11 avril 2013 – Théâtre Liberté, Toulon

1 février 2013/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut