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Julien Gosselin au Festival d’Avignon cet été avec une saga autour de Don DeLillo

À la une, Actu, Festival d'Avignon, Paris, Théâtre

photo Simon Gosselin

Grosse année 2018 pour Julien Gosselin. En janvier on pourra voir au Théâtre de Gennevilliers 1993, spectacle créé au Festival de Marseille cet été avec le groupe 43 de l’école du Théâtre National de Strasbourg. Une pièce qui interroge le rêve européen dans une scénographie radicale, sur des textes de l’auteur Aurélien Bellanger. On connait le goût de Julien Gosselin pour la littérature et les spectacles au long cours. Après Les particules élémentaires d’après Michel Houellebecq et 2666 d’après Bolaño, le metteur en scène s’attaque à l’œuvre de Don DeLillo. Ce spectacle sera présenté dans le cadre du Festival d’Automne 2018 au Théâtre de l’Odéon et dès cet été dans le cadre du 72ème Festival d’Avignon.

Stéphane CAPRON – www.sceneweb.fr

Don DeLillo agit pour moi, pour nous, dans notre parcours, comme un catalyseur de ces thèmes, comme l’endroit d’embranchement de ces questions mais aussi comme un nouveau virage à négocier. Celui des histoires qu’il raconte, des hommes et des femmes qu’il décrit, semblant emporté par le mouvement global de l’Histoire politique mais aussi et surtout par des phénomènes inexplicables. La peur, le doute, l’ennui, l’impossibilité de l’amour : DeLillo rend à ces phénomènes vécus par tous leur part de mystère, les relie à l’Histoire, aux guerres, aux archaïsmes les plus violents et les plus purs.

Je vais ici me concentrer sur trois textes qui décrivent, chacun à leur manière, une histoire du terrorisme. Les Noms, qui raconte dans les années 1970 la recherche par un homme esseulé d’une secte violente tuant ses victimes en se basant sur l’alphabet au beau milieu d’un bassin méditerranéen en pleine crise politique. Joueurs, le passage d’un homme de l’ennui du couple à la violence pure, la lutte entre la radicalité et le libéralisme aux Etats-Unis dans les années 1980. Et enfin Mao II, qui croise le portrait d’un écrivain voulant à tout prix se cacher avec le terrorisme moyen-oriental des années 1990.

Julien GOSSELIN, Décembre 2017

Don DeLillo

TRADUCTION
Marianne Véron

ADAPTATION ET MISE EN SCENE
Julien Gosselin

DISTRIBUTION Rémi Alexandre, Guillaume Bachelé, Adama Diop, Joseph Drouet, Denis Eyriey, Antoine Ferron, Noémie Gantier, Carine Goron, Alexandre Lecroc-Lecerf, Frédéric Leidgens, Caroline Mounier, Victoria Quesnel, Maxence Vandevelde

SCENOGRAPHIE Hubert Colas

ASSISTANT A LA MISE EN SCENE Kaspar Tainturier-Fink

CREATION MUSICALE Rémi Alexandre, Guillaume Bachelé et Maxence Vandevelde

CREATION LUMIERES Nicolas Joubert

CREATION VIDEO Jérémie Bernaert et Pierre Martin

CREATION SONORE Julien Feryn

COSTUMES Caroline Tavernier (assistée d’Angélique Legrand)

REGIE GENERALE Antoine Guilloux

REGIE PLATEAU Guillaume Lepert et Simon Haratyk

REGIE LUMIERE Arnaud Godest

REGIE SON HF Mélissa Jouvin

STAGIAIRE DRAMATURGIE Juliette de Beauchamp

ADMINISTRATION / PRODUCTION / DIFFUSION Eugénie Tesson

LOGISTIQUE Emmanuel Mourmant

ASSISTANT A L’ADMINISTRATION Paul Lacour-Lebouvier

20 décembre 2017/par Stéphane Capron
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