Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Jan Fabre sera jugé pour attentat à la pudeur et harcèlement sexuel

Actu, Danse, Théâtre

Jan Fabre photo Evi Fylaktou

Jan Fabre sera jugé par la justice belge pour « attentat à la pudeur » et « harcèlement sexuel ». C’est ce qu’a annoncé le parquet d’Anvers en Belgique. Une première audience procédurale est prévue au tribunal le 21 septembre. Elle fixera un calendrier pour le procès et n’impliquera pas forcément  une comparution de l’intéressé.

Les accusations datent de septembre 2018, dans le sillage de la campagne #metoo. Une vingtaine d’anciens collaborateurs de sa compagnie de danse et de performances artistiques Troubleyn s’étaient plaints dans une lettre ouverte d’avoir subi pressions psychologiques, « humiliations » et même chantage à caractère sexuel. Une enquête avait été ouverte par l’Auditorat du travail d’Anvers, une section du ministère public spécialisée dans les conflits du travail.  La décision est tombée lundi à l’issue de presque trois ans d’investigations: Jan Fabre devra s’expliquer devant le tribunal correctionnel de ces accusations dont il s’est toujours vivement défendu.

Le metteur en scène est cité à comparaître pour « violence » et « harcèlement sexuel au travail » à l’égard de « douze employés », ainsi qu’un « attentat à la pudeur », précise un communiqué de l’Auditorat du travail, sans préciser l’identité des victimes présumées.

A la fois chorégraphe, auteur, plasticien, metteur en scène de théâtre, Jan Fabre a la réputation depuis les années 1980 d’être un des artistes les plus protéiformes et avant-gardistes de son époque. Dans leur texte, paru en septembre 2018 sur le site du magazine néerlandophone spécialisé dans l’art rekto:verso, ces ex collaborateurs et stagiaires de Troubleyn dénonçaient des attitudes systématiques de « harcèlement » de la part de l’artiste flamand.  Les vingt cosignataires, majoritairement des femmes, affirmaient que « l’humiliation était le pain quotidien » au sein de la compagnie.  Ils expliquaient que Jan Fabre invitait chez lui des artistes sous prétexte de performances d’art visuel, et tentait alors une « approche sexuelle ».

Avec agences de presse.

28 juin 2021/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
4 solos de Jan Fabre au T2G
100% Jan Fabre à la Scène nationale Tandem à Arras et Douai
The Tragedy of a Friendship de Jan Fabre
Mount Olympus de Jan Fabre, 24 heures le 31 janvier sur CultureBox
Focus Jan Fabre au FAB 2018 à Bordeaux
Jan Fabre, belge en diable
La trilogie Jan Fabre à Chaillot avec Dirk Roofhooft
Jan Fabre / Attends, attends, attends… (pour mon père), ce soir au Théâtre de la Bastille
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut