Mêlant le théâtre à la musique, le hip hop incisif du groupe Faso Kombat aux chansons d’inspiration plus traditionnelle d’Hamidou Bonssa, Aristide Tarnagda porte un regard aigu sur les rapports ambigus qu’entretiennent deux mondes qui se sont côtoyés pendant plus d’un siècle sans vraiment se comprendre. Mais dans l’urgence du moment, il importe de dépasser la simple constatation pour chercher plus loin, aller voir ce qui d’habitude se cache et se tait. En racontant sa vie, ses échecs et ses désirs, Lamine incarne ainsi les mots de celui qui est aujourd’hui encore prisonnier, celui qui ne se heurte qu’à des murs et des silences et pour lequel il n’existe plus qu’un seul horizon : un voyage qui lui sauverait la vie.
Et si je les tuais tous Madame ? D’après dossier de presse.
mise en scène Aristide Tarnagda
scénographie Charles Ouitin
lumière Mohamed Kaboré
costumes Huc Jean-Christophe Michel
assistanat à la mise en scène Safourata Kaboré, Sira Diarra
avec Hamidou Bonssa, Lamine Diarra et David Malgoubri, Salif Ouedraogo du groupe Faso Kombat
production Compagnie Théâtre Acclamation
coproduction Récréatrales, Institut français
Durée estimée1h
Festival d’Avignon
Chapelle des Pénitents blancs
Du 23 au 26 juillet
15h
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