Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Emmanuel Ray monte Caligula d’après Camus

Agenda, Paris, Théâtre

J’ai monté Electre, Jeanne, Don Quichotte… et demain Caligula. Je veux rencontrer ces personnages en quête de l’impossible … A la poursuite infinie de leurs rêves, au dépassement sans limite d’eux-mêmes…
Chez les enfants, la perception de la vie est infinie.
Les rêves sont possibles …
La société, les normes, la peur du regard des autres, le calcul politique, les arrangements, le mensonge déguisé violentent les rêves de l’enfant. L’enfant est alors cassé, déchu, floué. La violence de Caligula nait de cette compréhension qu’il a du monde. La responsabilité est collective de rendre le génie horrible. Les enfants déchus peuvent devenir des monstres en puissance.
Il ne s’agit pas de prendre Caligula comme un simple tyran sanguinaire et d’y voir des corrélations avec tous ces dictateurs que nous avons en mémoire. Avec le personnage de Caligula, Camus se prête volontairement au jeu de se mettre à la place du tyran. Il dévoile ainsi l’aberration de sa situation et de celle de tout un chacun.
Tout système, tout collectif, engendre en soi, cette notion. Ce sont les systèmes qui créent le tyran. Tout système a besoin de son tyran.Le tyran existe-t-il aussi en démocratie ?… »
Note d’intention d’Emmanuel Ray

« Caligula » d’Albert Camus
Mise en scène et scénographie Emmanuel Ray
Avec Mathieu Genet – Caligula
Mélanie Pichot – Caesonia
Thomas Marceul – Hélicon
Thomas Champeau – Scipion
Jean-Christophe Cochard – Cherea
Sébastien Lagord – sénateur
Nicolas Pichot – sénateur
Fabien Moiny – sénateur
Julien Testard – sénateur
Elodie Huet et Natacha Boulet-Räber
(en alternance) – Femme de Mucius
Musique et Son Tony Bruneau
Lumières Natacha Boulet-Räber
Costumes Rosalie Maisière
Régie générale Jean Cardoso
Production Théâtre en Pièces
Projet subventionné par la Ville de Chartres, Le Conseil Général d’Eure-et-Loir, La Direction Régionale des Affaires Culturelles du Centre (Ministère de la Culture), Le Conseil Régional du Centre, coproduit par Le Théâtre de Chartres et soutenu par la Maison Louis Jouvet / ENSAD (Ecole Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier).

L’épée de bois à la Cartoucherie
Du 15 janvier au 1er février 2015
Du jeudi au samedi à 2àH30, à 16h le dimanche

15 décembre 2014/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Le Théâtre de la Ville rend hommage à Albert Camus
Exils intérieurs, la conversation imaginaire d’Amos Gitai entre Rosa Luxemburg, Thomas Mann et Albert Camus
Stéphane Olivié Bisson dans Les Carnets d’Albert Camus
Nordine Marouf dans l’Étranger de Camus
Nicolas Zlatoff adapte Les noces de Sisyphe d’après Camus
Jean-Baptiste Artigas dans La Chute d’après Albert Camus
Emmanuel Demarcy-Mota met Cardin en Etat de Siège
Vincent Barraud dans L’étranger de Camus
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut