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"Emma la clown et son orchestre" ne va pas au bout de sa démarche

Agenda, Décevant, Les critiques, Paris, Théâtre
Photo Pascal Gely - agence Bernand

Photo Pascal Gely - agence Bernand

On ne s’improvise pas chanteuse, c’est ce que va apprendre Emma la clown dans ce spectacle qui mêle l’humour et compositions musicales. Quand on chante il faut apprivoiser la scène et composer avec les musiciens. Un terrain de jeu fabuleux pour l’art du clown (on s’emmêle les pinceaux dans les fils du micro, on joue avec la batterie…) Des moments malheureusement trop rares dans le spectacle. Meriem Menant a voulu jouer l’équilibriste en dosant humour et tour de chant. Et l’on ne sait pas sur quel pied danser.

Meriem Menant a créé ce personnage au début des années 90, et le développe à la façon « Martine ». Il y a « Emma veut devenir un ange », « Emma sous le divan »…et voici désormais « Emma et son orchestre ».  Un spectacle dont le seul fil conducteur est la musique. La narration n’existe pas. Les chansons sont gentillettes. Certains moments n’ont aucun sens (lorsque Emma se lance dans une séance de art painting façon années 70) et qui ne sont pas drôles.

A la fin du spectacle, Meriem Menant tombe le nez, et le costume. Elle devient chanteuse, elle abandonne son personnage. Il fallait donc aller au bout de la démarche, et concevoir un réel tour de chant.

Stéphane CAPRON – www.sceneweb.fr 

de Meriem Menant

par Emma la clown

musiques Mauro Coceano

mise en scène Kristin Hestad

piano Mauro Coceano

clarinettes Michel Aumont

batterie en alternance Nicolas Courret et Gaël Desbois

lumières Emmanuelle Faure

accessoires Éric Huyard

costumes Anne de Vains

son Bruno Le Masson

régie générale Nicolas Lamatière

coproduction La Vache Libre, Théâtre Antoine Vitez / Ivry sur Seine, ARCADI, spectacle

subventionné par le Conseil Général des Côtes d’Armor, la Spedidam et la SACEM,

production déléguée La Passerelle / SN de Saint-Brieuc,

coréalisation Théâtre du Rond-Point

  

du 26 janvier au 27 février à 18h30 – Rond-Point

6 avril 2010 Festival SPRING 2010/ODC de l’Orne

 

Les autres spectacles d’Emma la clown…

 

Dieu est-elle une particule ?

5 – 16 octobre 2009 Comédie de Caen (création)

22 et 23 octobre 2009 L’Hexagone/scène nationale de Meylan

10 Novembre 2009 La Passerelle/scène nationale de St Brieuc

15 novembre 2009 Théâtre de Morlaix

17 novembre 2009 La Merise/Trappes

4 décembre 2009 Théâtre de Givors

8 décembre 2009 Théâtre de Vire

11 décembre 2009 Théâtre des Sources/Fontenay aux roses

23 mars – 2 avril 2010 Théâtre Romain Rolland de Villejuif

8 avril 2010 L’Archipel/Fouesnant

10 avril 2010 Palais des Congrès/Loudéac

23 avril 2010 Espace Soutine/Lèves

 

Emma la clown sous le divan

15 – 18 décembre 2009 Le Quartz/scène nationale de Brest

20 avril 2010 Le Prato/Lille

29 avril 2010 Théâtre du Strapontin/Pont Scorff

4 mai 2010 L’Aire Libre/St Jacques de la Lande

 

Emma la clown en Afghanistan

18 et 19 novembre 2009 Limonaire à Paris

13 – 16 avril 2010 L’Aire Libre/St Jacques de la Lande

 

La conférence Emma la clown – Catherine Dolto

7 novembre 2009 Villiers sous Grez, le 30 avril 2010 à Pont-Scorff

29 janvier 2010/par Stéphane Capron
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6 réponses
  1. Fabienne PONS
    Fabienne PONS dit :
    31 janvier 2010 à 22 h 02 min

    Courrez voir Emma la clown…ses chansons n’ont rien de gentillettes contrairement aux apparences. Elle distille une poésie rare (Ah, la merveille d’éléphant qu’elle crée!!…)et avec un humour efficace nous invite à partager ses interrogations sur notre monde insensé. Pour moi, j’ai ri comme je ne l’avais pas fait depuis longtemps, d’un bon rire sain et pour les yeux et pour le coeur!

    Répondre
  2. bozo le clown
    bozo le clown dit :
    1 février 2010 à 8 h 10 min

    Ce n’est pas parcequ’on s’affuble d’un nez rouge (même pas rouge), que l’on fait de grands yeux ronds tout le temps, qu’on déglingue tous ses gestes, qu’on prétend mal chanter (alors qu’on ne sait pas le faire) et qu’on raconte tout et n’importe quoi, qu’on est un clown. Il n’y a aucune poésie dans ce spectacle qui ne fait qu’énerver.

    Répondre
  3. Fabienne PONS
    Fabienne PONS dit :
    1 février 2010 à 19 h 50 min

    Ce qui est merveilleux avec le sentiment poétique, c’est que personne ne peut vous le reprendre, jamais, même en usant de la plus grande férocité: il s’ancre en vous, là où il vous a émerveillé. Peut-être bien qu’il faut savoir ce que c’est qu’être « perdue dans le dedans du dedans de moi » pour apprécier ce spectacle? Certainement aussi qu’il faut admettre de lâcher prise?

    Répondre
  4. bozo le clown 2
    bozo le clown 2 dit :
    1 février 2010 à 22 h 49 min

    sans doute. Mais rien n’enpèche de raisoner logiquement sur la base d’hypothèses fausses, ce qu’est ce spectacle en tout point.

    Répondre
  5. aresima
    aresima dit :
    3 février 2010 à 18 h 53 min

    Il y a 2 ou 3 ans, un après-midi Emma la clown présentait son spectacle à des collégiens au Théâtre de Belfort, j’étais dans la salle où le personnel était dos à la scène dans les allées bras croisés et faisaient « chut! » pour fliquer les bambins censés avoir une « rencontre après spectacle » avec l’artiste. Au salut, on le comprend aisément, un élève a envoyé une boulette de papier sur la scène, pensez donc! sacrilège! L’actrice furieuse est sortie de scène et a refusé de rencontrer les enfants.
    C’est vrai que les clowns ont de l’humour et de l’humilité!
    Meriem devrait écouter et regarder Yolande Moreau de temps en temps

    Répondre
  6. Auguste
    Auguste dit :
    24 février 2010 à 8 h 53 min

    Je partage tout à fait les critiques négatives ; Meriem Menant n’a trouvé ni son clown, ni sa chanteuse. On peut sourire à quelques moment, guère plus.
    Des gens qui se trouvaient près de la porte sont sortis et elle s’est faite prendre à son propre piège consistant à cibler un ou deux specteurs qu’elle sollicite à longueur de spectacle ( avec une lourdeur ! ) en tombant sur quelqu’un qui avait visiblement plus d’humour qu’elle. les gags sont lourdingues, la soi-disant poésie des textes est surfaite et de très bas-de-gamme. Les musiciens sont très bons, effectivement, et on se surprend à espérer que la fameuse Emma ne revienne pas d’un passage en coulisses.

    Lorsqu’à la fin du spectacle, elle tombe le masque pour montrer qu’elle est tout de même une fort jolie femme ( Ego démesuré palpable tout au long du spectacle ),
    On se dit, « Ben voilà, finalement c’est beaucoup mieux comme ça et tout ce qui s’est passé avant n’était peut-être pas indispensable. »

    Répondre

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