Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Electre de Jean-Pierre Siméon / élaboration collective

Agenda, Théâtre, Villeurbanne
© Michel Cavalca

© Michel Cavalca

Cet Électre, écrit, comme Philoctète*, sur la suggestion de Christian Schiaretti, obéit aux mêmes principes d’écriture et de composition. Il s’agit donc de ce que j’ai appelé une variation qui, si elle suit le fil de l’intrigue proposée par la pièce de Sophocle, autorise condensations, expansions, retraits et ajouts, et revendique sa propre invention prosodique, rythmique, métaphorique. Cela ne désigne donc pas le passage d’une langue dans une autre, ce qu’est l’ordinaire traduction, mais le passage, d’une autre conséquence, d’une poétique dans une autre. Libre appropriation donc qui n’ignore pas sa dette mais manifeste le sens constant de toute création littéraire : elle ne peut être qu’un palimpseste. J’écris ainsi sur Sophocle, simultanément effacé et présent. Électre trouve à mes yeux son argument poétique premier dans le heurt de tensions multiples et contradictoires, entre les êtres et dans les êtres eux-mêmes. C’est donc ici le rythme, à vif et comme hyper-tendu, qui a commandé la logique de mon travail. Électre ? Un crescendo de tensions antagonistes (espoir et attente exaspérés, entêtement contre renoncement, haines réciproques) qui ne peut trouver sa résolution que dans l’acmé d’un meurtre qui est peut-être moins l’issue d’un débat entre le juste et l’injuste que la jouissance d’une libération autant physique que psychique.
Jean-Pierre Siméon, mars 2015

Electre
de Jean-Pierre Siméon / élaboration collective
Avec
Elizabeth Maccoco, Electre
Juliette Rizoud, Clytemnestre / Chrysotémis / chœur
Amandine Blanquart et Clémence Longy, chœur et choryphée
Julien Gauthier, Oreste
Clément Morinière, Pylade
Damien Gouy, Le précepteur
Julien Tiphaine, Egisthe
Production Compagnie À Juste Titre – Théâtre National Populaire

TNP
Du mardi 10 mai au samedi 21 mai 2016

8 octobre 2015/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Jean-Pierre Siméon – son théâtre de 1999 à 2004
Électre et Antigone au TNP par Christian Schiaretti
Olivier Balazuc met en scène La boîte de Jean-Pierre Siméon
Les Bonnes – Matériau de Jaroslaw Fret
Ajax, variation à partir de Sophocle de Jean-Pierre Siméon
Sylvia Bergé dans Le Testament de Vanda de Jean-Pierre Siméon
Maya Outmizguine dans le Stabat Mater Furiosa de Jean-Pierre Siméon
Trois hommes sur un toit de Jean-Pierre Siméon
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut