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Édouard Signolet met en scène Le diable à Paris sur une direction musicale de Dylan Corlay

Agenda, Paris, Théâtre musical

Un jeune homme du monde, André, ruiné par le jeu et sa maîtresse Paola de Walpurgis, a aperçu, depuis son compartiment à Guéthary, sur la ligne du Midi, une jolie petite garde- barrière.

Pour mieux courtiser Marguerite, puisque c’est son nom, André s’entend avec le chef de gare et se substitue à lui. Mais comme le jeune homme est sans le sou, Madame Grivot, garde-barrière en titre et tante de la jolie Marguerite, s’oppose à toute union entre les deux jeunes gens. Marguerite n’épousera qu’un homme riche. Madame Marthe Grivot est elle-même en butte aux avances obsessionnelles du vieil homme d’équipe, Fouladou, qu’elle trouve bien trop vieux pour elle…

La nouvelle vie ferroviaire d’André s’organise. La collaboration de chef de gare improvisé avec l’homme d’équipe idiot produit les retards, puis les déraillements les plus sensationnels. Car les deux hommes n’ont en tête que d’avoir chacun leur chacune. Désespérés de ne pouvoir plaire aux belles sur lesquelles ils ont jeté leur dévolu, ils invoquent le diable à l’aide d’un vieux grimoire tombé d’un train. André veut la richesse, Fouladou la jeunesse… et Méphistophélès apparaît.

Le Diable accomplit séance tenante les miracles demandés, en échange d’une petite signature que les miraculés diffèrent prudemment, et d’un petit voyage dans la capitale qu’André et
Fouladou sont chargés de lui préparer. Car Méphisto n’est pas venu à Paris depuis 1859 [l’année de la création du Faust de Gounod…] et voudrait bien connaître la nouvelle vie de la capitale. Satan débarque à l’heure dite à Paris, une valise pleine de millions à la main, dans le luxueux hôtel d’André, qui pour l’heure se débat entre les exigences de sa brillante maîtresse Paola de Valpurgis et les tendres reproches de sa petite fiancée basque, qui l’accompagne, chaperonnée par sa tante.

Le Diable s’est métamorphosé en riche rajah, il est émerveillé de tout ce qu’on a inventé depuis Faust, le téléphone, la T.S.F., le phono, les girls… et, lancé dans le tourbillon parisien, il se fiance avec Marguerite, dépitée de voir son André prisonnier des artifices de Paola qui, au passage, dépouille Méphisto de son argent.
Constamment dupé, le Diable découvre que les humains sont désormais aussi malins que le Malin. Et que l’amour, toujours puissant, fait très bien les choses. Les couples se recomposent selon les cœurs : André et Marguerite, Fouladou et Mme Grivot. Entraîné par les frasques qu’il a imaginées, Satan en vient à oublier la formule qui le reconduira aux enfers, auprès de Proserpine, son épouse détestée. Il ne s’en souvient qu’au moment d’être arrêté et disparaît, tandis qu’André et Marguerite pourront se marier en gardant l’argent du Diable. Fouladou, reprenant ses cheveux argentés, épousera Mme Grivot.

Le diable à Paris

opéra-comique de 1927 18 décembre 2020 – 9 janvier 2021

textes Robert de Flers, Francis de Croisset et Albert Willemetz musique Marcel Lattès
direction musicale Dylan Corlay
mise en scène, restauration et révision du livret original Édouard Signolet

et l’Orchestre Les Frivolités Parisiennes

Marion Tassou Marguerite I Sarah Laulan Marthe Grivot I Julie Mossay Paola de Valpurgis I Mathieu Dubroca André I Denis Mignien le Diable I Paul-Alexandre Dubois Fouladou I Céline Groussard l’entremetteuse
Girls Mélodie Avézard, Géraldine Deschenaux, Laëtitia Gawiec, Sophie Girardon, Camille Nicolas, June van der Esch
Boys Bart Aerts, Eric Jetner, Fabian Miroux, Stoyan Zmarzlik

collaboratrice artistique Isabelle Monier-Esquis scénographie Emilie Roy
costumes Colombe Loriot Prévost
maquillage et coiffure Fanny Jakubowicz, Corinne Blot création lumière Tristan Mouget

chorégraphie Caroline Roëland
restauration de l’orchestration originale et chef de chant Jean-Yves Aizic
conseiller artistique Christophe Mirambeau

durée 2h20 entracte inclus

Théâtre de l’Athénée

vendredi 18, samedi 19, samedi 26, mardi 29 décembre à 18h dimanche 27 décembre 2020 à 15h
jeudi 31 décembre à 20h
samedi 2, vendredi 8, samedi 9 janvier à 18h

dimanche 3 janvier à 15h

15 janvier 2021 l Théâtre Impérial de Compiègne
6 juin 2021 I Théâtre Raymond Devos de Tourcoing

3 décembre 2020/par Dossier de presse
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