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D’urine et de fer de Michel Gendarme, Prix d’écriture théâtrale du Jardin d’Arlequin

En bref, Théâtre

arlequinL’Association le Jardin d’Arlequin a été créée en été 2015 par un noyau d’amateurs de théâtre, pour la plupart issus du comité de lecture du Prix d’écriture théâtrale de la Ville de Guérande, désireux de poursuivre le travail entrepris depuis 15 ans pour le soutien à la création et à l’écriture théâtrale.

Pour cette première édition son comité de lecture a lu environ 40 textes et en a retenu 5 qui on donné lieu à des délibérations passionnées.
Les 5 textes :
– D’urine et de fer de Michel Gendarme
– Le sens de l’escargot d’Aurore Jacob
– L’accident de Bertrand d’Emilie Leconteaa
– Neverland de David Léon
– Le dossier Jouveau de Viviane Point

Parmi les cinq textes proposés celui de Michel Gendarme nous a surpris dans sa forme, il résistait d’emblée à la lecture, il ne dit pas tout ,et dans le même mouvement laisse une large place à l’imagination du spectateur, ses plages de silence offrent une part belle aux autres signes de la représentation.
Michel Gendarme nous emmène dans un univers poétique et musical avec une écriture dramatique très maîtrisée et une forme tout à fait originale.

L’auteur nous entraîne dans l’antre d’un cargo immobile, qui n’a pas été jusqu’au port, et dans lequel la vie de deux hommes semble s’être arrêtée. Ce huis-clos nous dévoile avec lenteur la relation des 2 personnages principaux, 2 frères oscillant entre haine et amour. Par delà leur histoire personnelle ce texte traite de l’émigration, thème si souvent abordé depuis quelques années. Ici ni documentaire ni thèse édifiante mais une plongée dans des mondes oniriques qui nous disent tout autant, sinon plus de cette condition humaine..

Cette pièce s’inscrit dans une trilogie, le second volet s’intitule » le voyage d’Amadou (les survivants »), le troisième « sous le vert gazon, il y a une belle merde (les vivants) ».

29 octobre 2016/par Dossier de presse
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