Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Dimanche Éperdument de Lionel Hoche

Théâtre
Paul Veloso

© Paul Veloso

Dimanche Éperdument est la troisième « rotation » d’une forme intimiste, généreuse et éclatée, initiée en 2015 avec lundijeudi et samedicarrément en 2018.

Ce triptyque interroge de trois manières contrastées, notre errance existentielle, notre monde contemporain et la place qu’y occupe la danse (tant dans l’Histoire que dans l’intimité de l’auteur). De l’apprentissage lointain au monde présent et dépassé où l’homme dansant semble avoir perdu sa place, ces trois volets sont tous imprégnés – voire secoués – par le sourd chaos d’une société avançant vers sa zone de rupture …
C’est une fresque existentielle aux angles de vue multiples, mais sensible à l’espoir. Et si le projet flirte avec diverses formes et registres du spectacle vivant c’est dans un désir d’ouverture, de croisement et d’hybridation qui est devenu essentiel à la recherche du chorégraphe.
Dimanche Éperdument n’est pas un projet autobiographique comme l’ont pu être les deux épisodes précédents.
S’il se situe à l’endroit du 3ème épisode du triptyque initié en 2014 il dévie, il dévisse, s’ouvre et s’élargit. C’est un trio maintenant et l’équipage s’enrichie d’Harris Gkekas au plateau et de Carlotta Sagna à la dramaturgie.
Le « je » s’efface pour le nous, et se fond dans le tout : lundijeudi (l’un dit je dis) s’écrivait au singulier, samedicarrément le dédoublait en amitié musicale avec Adam Vidovic, Dimanche Éperdument s’annonce alors étranger, détaché du temps et des expériences personnelles pour s’avancer vers un ailleurs voire un au-delà et observer notre humaine (é)perdition.
Dimanche Éperdument c’est déjà après, dislocation finale, désagrégation fractale vers l’infini noir mais c’est aussi l’écrin de multiples hommages cachés à la danse et aux danses. Sorte de kaléidoscope ou rubik’s cube chorégraphique.

Dimanche Éperdument
création 2021
Lionel Hoche – Cie Mémé Banjo
Conception/interprétation/scénographie : Lionel Hoche
Clavier/interprète : Adam Vidovic
Danses : Harris Gkekas
Musique : Cole Porter, Eric Satie, …
Oeil extérieur – Conseil dramaturgique : Carlotta Sagna
Son/vidéo Lumière : Jérôme Tuncer, Arthur Gueydan
Production : Compagnie MéMé BaNjO
Co-productions : La Commanderie-Mission Danse (Saint-Quentin en Yvelines),
Centre Chorégraphique National Ballet de Lorraine dans le cadre de l’Accueil Studio
Résidences : Le Prisme, Élancourt – Le Figuier Blanc, Argenteuil – Le Pavillon, Romainville
– La Maison-Forte, Vitry-lès-Cluny.
Soutien : ADAMI, DRAC Ile-de-France et la Région Ile de France
© Paul Veloso

vendredi 15 janvier – 14h & 20h30
Le Prisme – Élancourt
samedi 6 février – 19h
La Maison du Peuple – Pierrefitte-sur-Seine

4 décembre 2020/par Stéphane Capron
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Nos 20 têtes d’affiche de la rentrée
Lionel Hoche fait danser L’histoire du soldat
Mytho de Lionel Hoche
M.M.O. de Lionel Hoche
Samedicarrément de Lionel Hoche
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut