Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Clara Koskas dans Léviathan de Gwendoline Destremau

Paris, Théâtre

La guerre de Troie, on nous la raconte à travers l’œil des soldats glorieux. On l’a peinte, écrite, fantasmée. Ici, Cassandre brise le mythe. Elle incarne les victimes comme les bourreaux, à la recherche d’une libération collective. Après tout, en tant que « figure de la littérature antique », ne peut-elle pas tout dire ?

Après Eurydice aux Enfers, la Cie de l’Eau qui Dort présente cette seconde création, un duo en scène épuré et consolateur mêlant violoncelle, jeu, et danse.

Léviathan

Écriture et mise en scène – Gwendoline Destremau

Interprétation – Clara Koskas

Création sonore – Ariane Issartel

Création lumière – Titiane Barthel

Costume – Claire Fayel

Diffusion et production – Marion Détienne

Crédits photos : Julie Cotinaud, Dominique Farouest

Lavoir Moderne Parisien
Du 24 au 27 avril à 21h
Le 28 avril à 17h

14 avril 2024/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
Esther Wahl met en scène Louise, elle est folle de Leslie Kaplan
Clara Koskas met en scène Les Aveugles de Maurice Maeterlinck
Le Révizor de Nicolas Gogol par la Compagnie PopuloLe Révizor de Nicolas Gogol par la Compagnie Populo
Gwendoline Destremau met en scène Mille et une nuits ou l’homme qui aimait les coquelicots
Olivier Sanquer met en scène Tom à la ferme de Michel Marc Bouchard
1 réponse
  1. Une victime de viol en colère
    Une victime de viol en colère dit :
    25 juillet 2024 à 11 h 14 min

    Leviathan de Gwendoline Destremeau m’a appris une chose : le théâtre, ce lieu sûr dans lequel je me sens si bien, peut violer. Gwendoline Destremeau, par sa pièce et son écriture prenant le parti qu’aucune victime ne peut se trouver spectatrice de cette horreur, m’a fait revivre chacun de mes viols. Tout y était : flash, sensations corporelles, nausée, angoisse. Un exploit ! Je ne peux pas dire combien de fois j’ai dissocié devant cette horreur macabre et provocatrice ne pouvant plaire qu’aux voyeuristes et autres voyeurs à la curiosité morbide se fichant ouvertement de l’existence réelle des victimes. Une question me hante toujours après plusieurs semaines : c’était quoi le but, Gwendoline ? Choquer les traumatisé.e.s ? Alors bravo. Éveiller les consciences ? Alors raté, tu ne séduiras que les adeptes de provocation et les agresseurs eux-mêmes. Je cherche encore la parole des victimes dans ce texte : je ne la trouve pas. J’ai juste vécu et revécu mes viols en boucle tout le long du spectacle. Si c’était ça l’intention, c’est l’humanité même de la créatrice qui est à questionner. Elle nous donnera elle-même la réponse dans les années à venir, selon ce qu’elle décidera de faire de son show violeur, et de la direction que prendront ses futurs projets. Quel est le but, Gwendoline ?
    Espérant une lueur d’empathie de votre part,
    Tristement,
    Une victime profondément choquée

    Répondre

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut