‘Pour une thèse vivante’, c’est la poursuite d’une réflexion sur l’écriture d’artiste, entamée en mars 2011, à la recherche d’une pensée en art qui se fraierait un chemin dans la pratique.
En tissant des liens avec des savoir-faire de tous horizons, il a été souvent question pour moi de chercher la raison de mon obstination à la scène. Créer des changements permanents pour radicaliser une posture.
Le désir de partir d’autres usages de l’habitat vers la fabrication des lieux de survie liés aux catastrophes naturelles, désir de projeter un lieu simple, sobre, répondant à un besoin ultime de se loger, d’habiter et qui partirait de cette métaphore entendue comme la survie de l’expérience, survie de l’expérimentation des actes artistiques partagés et proches de mon art. Projeter l’habitat précaire et ses formes traitant du matériau naturel dans une grande simplicité. Un CCN en terre et en paille, devient le lieu où je perpétue un acte d’expérience et d’expérimentation artistique.
Lieu de partage de savoir, ‘Pour une thèse vivante’, épisode 5 : Un CCN en terre et en paille se voit et se doit de construire un lieu de plaisir où les sensibles dépasseraient la « tâche », de ce dit travail. Laisser faire comme laisser penser des actes. »
Claudia Triozzi
Un CCN en terre et en paille de Claudia Triozzi
« Pour une thèse vivante » épisode 5
Vendredi 17 et samedi 18 novembre 2017 à 20h30
Les Inaccoutumés / La Ménagerie de verre
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