Candide, « un jeune homme qui avait le jugement assez droit et l’esprit le plus simple », se fait chasser du « château de Thundertentronck » pour un baiser à Cunégonde, la fille du Baron. Il se retrouve en fuite, rencontre la guerre, les prédicateurs d’Hollande, l’Inquisition au Portugal, l’Eldorado, l’esclavage et découvre les horreurs et les injustices les plus atroces dans « le meilleur des mondes ». Toujours accompagné, du philosophe Pangloss, de Cacambo ou de Martin, il s’enrichit de ses rencontres et retrouvailles (du baronnet). Sa recherche de Cunégonde et la quête du bonheur sont les fils conducteurs de son périple à travers le monde. Avec des rencontres mirobolantes et des aventures improbables (c’est un conte !) il cherche la vérité, l’amour, le bonheur. Après de multiples déceptions contrariétés et joies, il arrive à Constantinople. Et dans une métairie, entourée de sa petite société, il découvre qu’il a mûri, qu’il a changé que la clé de la sérénité est peut être en nous, «en cultivant notre jardin ».
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