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(be) au boulot ! à la Maison des Métallos

Agenda, Paris, Théâtre

Eric Larrayadieu Et le travail , Guise, collectif La Forge © l’artiste

(be) au boulot ! à la Maison des Métallos

Imaginée par Patricia Perdrizet de l’association « Un sourire de toi et j’quitte ma mère », une exposition collective d’artistes français et étrangers donne à voir des créations visuelles et sonores de plasticiens, de photographes, de vidéastes, de dessinateurs et du collectif La Forge qui questionnent le travail et interrogent sa représentation mentale ou réelle.

Les approches sont aussi diverses que passionnantes. Arnaud Théval (Moi le groupe) et Alain Bernardini (Les Allongé(e)s – Tu m’auras pas ; Allez c’est parti : chat perché / colin-maillard / balle au prisonnier) questionnent les gestes, les images, les représentations physiques du travail et de ses alter-ego : la formation et… la pause. Le trublion Julien Prévieux expose ses fameuses Lettres de non motivation, d’une ironie grinçante face aux réalités de l’emploi. Le photographe Serge Lhermitte imagine une mise en abyme ludique du lieu de travail et de l’espace personnel qui fait s’entrechoquer ces deux mondes généralement bien séparés (La Vie de château ; la RTT vous va si bien ; Patrimoine et relevé de paye). Le collectif La Forge interroge à la fois la mémoire (vivante) du travail passé et la question de son devenir (Et le travail ?).

Jean-Luc Moulène expose les photographies d’« objets de grève » fabriqués par des ouvriers à l’occasion de conflits du travail (Trenteneuf objets de grève 1999-2000). avec les œuvres des artistes Istvan Balogh, Alain Bernardini, Baptiste Cozzupoli, Vincent Croguennec, le collectif La Forge, Jean Lecointre, Serge Lhermitte, Jean-Luc Moulène, Cécile Paris, Françoise Pétrovitch, David Poullard et Guillaume Rannou, Julien Prévieux, Tere Recarens, Arnaud Théval

coproduction « Un sourire de toi et j’quitte ma mère », Maison des métallos

avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication et du

Conseil régional d’Île-de-France

prêt des œuvres de Jean-Luc Moulène avec le concours du Département de la Seine-Saint-Denis

théâtre

ô mon pays !

théâtre pôle nord

par Lise Maussion, Damien Mongin, Guillaume Thermet, Yellow Flight

accompagnés par Charlotte Fleury, Joséphine Gelot,

Delphine Prouteau, Grégoire Terme

20 > 25 mars

Ô mon pays ! est un diptyque du Théâtre Pôle Nord : deux monologues, un homme (le comédien Damien Mongin), une femme (la comédienne Lise Maussion), la trace d’un seul et long chemin, une errance théâtrale à travers l’actualité et le sentiment d’une misère diffuse. Ces spectacles, créés l’un à la suite de l’autre, se font écho. Leurs personnages – Sandrine enferrée dans sa vie comme dans un bloc de granit, et Chacal sans racine et sans nom – se font écho. Deux récits d’êtres solitaires et repliés sur eux-mêmes où s’entrechoquent la puissance du rêve et la réalité brutale du monde du travail.

la grande clameur

la nef – manufacture d’utopies

texte et mise en scène Jean-Louis Heckel

jeu et écriture scénique Pierre Bernert, Baptiste Etard,

Claire Perraudeau

scénographie Baptiste Etard

construction décor Antonin Etard assisté d’Alexandre Vincent

création et régie lumière Julien Paulhiac

création sonore Pierre Bernert

construction marionnettes Carole Allemand, éric Deniaud,

Sébastien Puech

remerciements à Bertrand Page pour son témoignage

production La Nef – Manufactures d’utopies

avec le soutien de la Maison du Geste et de l’Image à Paris

29 mars > 8 avril

Pantin, 1980 : face au projet de fermeture de la Manufacture des Tabacs, les sept cents ouvriers de l’usine réagissent, imaginent un projet autogestionnaire, interpellent l’opinion publique… Trente ans plus tard, la Nef – Manufacture d’utopies, à la fois un lieu (à Pantin) et une compagnie revient sur cette histoire ouvrière. Un personnage, François Colonge, ouvrier, représentant syndical à la manufacture de tabac, a vécu aux premières lignes cette utopie.

Dans un même élan, La grande clameur interpelle le politique et le poétique. Une démarche esthétique originale (Colonge est incarné par une marionnette, manipulée à vue comme un mannequin) place le spectacle dans un décalage atypique, bien loin d’un théâtre simplement revendicatif. Entre comédie et tragédie, le ton est aussi bien à l’enquête policière, au roman photo, à l’éloquence des grands discours et à l’élégance surannée d’une poésie de bric et de broc – tout en réveillant les consciences d’aujourd’hui.

laboratoire festif

être sujets

dans son travail

nicolas frize

19 > 20 avril

jeudi 19 et vendredi 20 avril > entrée de 18h30 à 22h30

Cette soirée alterne des séquences musicales, des extraits de film, des témoignages, des projections d’images et d’ambiances sonores, des bruits qui courent, des mots qui parlent… Le thème du travail est abordé de façon tout à fait singulière, mettant l’accent sur les approches personnelles, sur la façon dont chacun invente son métier, se l’approprie, y met de soi, l’interprète et le transforme.

Le public est invité à participer à des actions, à des échanges, à traverser l’espace. Une expérience intérieure et collective, plutôt proliférante, intime et sonore, muette et parlante, qui nous fait toucher l’activité professionnelle, avec des musiques vivantes et des histoires

de métiers très subjectives. Et puis des livres, des boissons, une photocopieuse et une pause dîner !

Instants musicaux

Langages d’un jour (écritures sonores) pour violon, violoncelle et percussions de Nicolas Frize

Encore et plus jamais ! pour bande magnétique de Nicolas Frize

En chaines pour bande magnétique de Nicolas Frize

Hébé (sur un poème de Louise Ackermann) pour soprano, violon et violoncelle d’Ernest Chausson

Maintenant (extrait) pour contre ténor et violoncelle de Nicolas Frize

L’entreprise pour marimba (création) de Jean-Pierre Drouet avec les musiciens Ariane Granjon (violon), Frédéric Petit (violoncelle), Sylvain Lemêtre, Théo Merigeau, Hsiao-Yun Tseng, Ya-Hui Liang, Jérémie Abt (percussions), Christophe Laporte (contre ténor), Jacqueline Cellier (soprano, à la retraite)

des Parleurs (André Bergeron, Jean-Pierre Burdin, Damien Cru,…)

des Lecteurs (enfants, collégiens, personnes à la retraite)

des Facteurs (étudiantes du B.T.S. animation et gestion touristiques locales du Lycée J.Feyder d’épinay-sur-Seine)

coproduction Les Musiques de la Boulangère, la Maison des métallos

avec le concours de Paris Lecture (Robert Caron)

La Maison des Métallos

20 mars > 22 avril 2012

exposition en entrée libre

tarif spectacle :

plein tarif 14 euros

tarif réduit 10 euros

tarif «Ami(e)s» 8 euros

tarif jeunes 5 euros

17 mars 2012/par Dossier de presse
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