Alice Masson et Quentin Gibelin mettent en scène La Belle Hélène de Jacques Offenbach
L’entrée des rois avec la folie de leurs mots disloqués : « le roi bar… bu qui s’avance ou l’é…poux de la reine », brandis sur d’irrésistibles débranchements rythmiques, le jeu de l’oie, le ménage à trois. C’est Vénus tout entière et « le petit Mozart des Champs-Élysées » qui fouettent le tourbillon échevelé des […]