Que seul un chien de Claudine Galéa par Brigitte Barilley
J’avais aimé ses photographies qui disaient un quotidien d’ailleurs, transitoire, instantané, chambres d’hôtel, cafés, places, ciels, mers, voitures, cars, trains, départs arrivées départs. Peu de personnages, plutôt des imaginaires. (…) Le déplacement géographique, puis la mémoire racontent, de nos vies, moins le récit que le songe. Et peut-on voir sa vie sinon en revisitant des […]