Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Atla de Louise Vanneste

Agenda, Bobigny, Danse

photo Stephane Broc

Ce que chorégraphie Louise Vanneste, c’est un espace tout entier. Avec ses vibrations, résonances et projections. C’est autre chose que seulement diriger des corps en déplacement. C’est plus. Plus profond. Et ouvert. Pour le spectateur d’atla, cela se joue en déambulation physique, parmi six interprètes, entre représentation et installation. Hors frontalité, une route s’ouvre dans le territoire de l’imaginaire.

La chorégraphe belge cite volontiers l’effet de la lecture : comment, à la seule source du travail de la langue, l’activation imaginaire tient d’une mise en mouvement. Au début, en filigrane du titre atla, on comprenait à travers les aulnes. Par les aulnes, on pensait à l’écrivain Michel Tournier. Atla ? Cela renvoie aussi à une ample géographie du monde. Alors, du même auteur, glissons vers cet autre chef d’œuvre : Vendredi ou les limbes du Pacifique.

Vingt-huit ans seul sur une île, de quelle sensualité solaire et cosmique, Robinson tisse-t-il son expérience extrême d’un rapport au monde qu’il lui faut recréer ? Vendredi le rejoint. Cette altérité humaine pourrait consacrer le grand retour à l’option civilisationnelle. Or non. À travers Vendredi, Robinson finira d’accepter l’appel d’un autre monde. Épousera cette île.

Atla n’est en aucun cas une transcription scénique du roman. Mais atla s’imprègne des résonances du temps et vibrations terrestres, leurs suggestions élémentaires, en tournoiement du vide et des espacements, qui permettent à la danse de déployer sa puissance d’aventure philosophique. Pourtant si près du geste.

Atla
Conception, chorégraphie et mise en espace : Louise Vanneste
Interprètes : Paula Almiron, Anton Dambrain, Amandine Laval, Elise Peroi, Gwendoline Robin,
Gabriel Schenker
Vidéo : Stéphane Broc
Musique : Cédric Dambrain
Scénographie et éclairage : Arnaud Gerniers assisté de Benjamin van Thiel
Regards extérieurs : Anja Röttgerkamp
Collaboration artistique : Emmanuelle Nizou
Voix off : Claude Schmitz et Amandine Laval
Régie générale : Yorrick Detroy

Production : Louise Vanneste / Rising Horses, DC&J Création. Avec le soutien du Tax Shelter du Gouvernement Fédéral de Belgique et d’Inver Tax Shelter.
Coproductions : Charleroi danse, Kunstenfestivaldesarts, le Théâtre de Liège, les Halles de Schaerbeek (Belgique), Le Gymnase – CDCN Roubaix/Hauts-de-France. En partenariat avec La Bellone (Belgique). Avec le soutien de la Communauté Française et de Grand Studio.

RC93
Samedi 25 mai 2019 • 18h
Samedi 25 mai 2019 • 19h 30
Dimanche 26 mai 2019 • 15h
Dimanche 26 mai 2019 • 18h
MC93 – Bobigny

24 mai 2019/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
Vous aimerez peut-être aussi
La programmation du Kunstenfestivaldesarts 2025
Mossy Eye Moor de Louise Vanneste « Mossy Eye Moor », les danses tectoniques de Louise Vanneste
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut