ARCADIA : la nouvelle œuvre scénographique des SUBS concue par Khaled Alwarea

La TORNADE (2021), le KRAKEN (2022), BLEU (2023), CRESCENDO (2024) : chaque été, une équipe artistique métamorphose le site des Subsistances avec une scénographie originale activée par des rendez-vous artistiques et une terrasse géante. Après le succès du KRAKEN, l’artiste et architecte syrien Khaled Alwarea est de retour avec ARCADIA.

Portée par un élan artistique, culturel, politique et social, l’installation ARCADIA de Khaled Alwarea et UV Lab est propice aux rassemblements, à la rencontre et aux interactions artistiques en-dehors des typologies habituelles (scène, gradins…). ARCADIA régénère l’esprit du locus amoenus, ce lieu poétique qui conjugue confort et bien être du corps et de l’esprit. Debout, assis ou allongés les visiteurs/spectateurs pourront y vivre des expériences artistiques originales en complément des activités proposées dans les autres espaces extérieurs (espace détente/jeux, terrasse sous les marronniers) et intérieurs (verrière, hangar, boulangerie, plateaux).

Grands spectacles, concerts, bals mais aussi rendez-vous plus intimistes et formes hybrides entre pratiques artistiques et somatiques, la scénographie de l’esplanade décline de multiples expériences spécifiques pour tous les publics. Si elle joue un rôle fonctionnel important, la scénographie d’été est également porteuse d’une valeur artistique forte en elle-même. Les métamorphoses estivales font en effet figures de totems – de façon physique et littérale à travers les commentaires et récits dont elles sont le support. ARCADIA est à la fois un lieu d’agrément et une agora à ciel ouvert, une utopie artistique comme une Arcadie pour le temps présent.

À partir du 2 mai, ARCADIA, l’œuvre de bois modulable s’activera avec plus d’une cinquantaine de contenus artistiques. Théâtre, danse, musique : toute la diversité de la scène contemporaine s’épanouit dans ce lieu de création en bord de Saône. De Juan Ignacio Tula à Julien Andujar, en passant par Robyn Orlin & Volmir Cordeiro, Léo Lerus ou encore Mercedes Dassy