Sceneweb
  • À la une
  • Actu
  • Critiques
    • Coup de coeur
    • A voir
    • Moyen
    • Décevant
  • Interviews
  • Portraits
  • Disciplines
    • Théâtre
    • Danse
    • Opéra
    • Cirque
    • Jeune public
    • Théâtre musical
    • Marionnettes
    • Arts de la rue
    • Humour
  • Festivals
    • Tous les festivals
    • Festival d’Avignon
    • Notre Best OFF
  • Rechercher
  • Menu Menu

Affabulazione de Pier Paolo Pasolini par Stanislas Nordey

Agenda, Lausanne, Paris, Rennes, Saint-Etienne, Théâtre

© Matthias Steffen

Un industriel milanais fait ce rêve étrange : il se voit enfant, à la poursuite d’un garçon plus grand que lui et dont il ne peut voir le visage. Ce garçon l’appelle « Père ». Il se réveille en sueur et cherche à élucider son rêve. Il est alors pris d’un grave malaise. Désormais le Père vivra, violemment et parfois jusqu’au ridicule, dans la hantise de résoudre le mystère du Fils…
Affabulazione interroge la thématique de la rébellion dans la société ; fondée sur un mythe oedipien inversé, elle ausculte les univers bourgeois, politiques et individuels.
Stanislas Nordey dit qu’il est véritablement entré au théâtre lors de sa rencontre avec les textes de Pasolini. Il apprend du poète italien que mettre en scène, c’est partager une énigme avec les comédiens et avec les spectateurs. Que monter une pièce, c’est apprendre et respecter la langue d’un poète. à ce jour, Nordey a monté quatre des six grandes pièces de Pasolini : Bête de style en 1991, Calderon en 1993, Pylade en 1994 et Porcherie en 1999. « Je n’avais pas encore abordé Affabulazione parce que les âges ne correspondaient pas au mien ni à celui de mes compagnons de jeu : nous étions trop jeunes pour incarner vraiment ce père en déroute. J’ai joué Oreste à 27-28 ans, l’industriel de Porcherie à 35 ans, je peux maintenant jouer le père d’Affabulazione. Cela correspond à mon âge, 47 ans, et peut-être aussi à un passage dans ma vie artistique, ainsi que dans mon rapport à la pédagogie, de fils à père. »

Affabulazione
de Pier Paolo Pasolini
traduction de l’italien Jean-Paul Manganaro
mise en scène Stanislas Nordey
collaboratrice artistique Claire ingrid Cottanceau
scénographie Emmanuel Clolus
lumière Philippe Berthomé
Musique Olivier Mellano
son Michel Zürcher
Costumes Raoul Fernandez
Perruques Catherine Saint Sever
Assistanat à la mise en scène
Anthony Thibault
avec Marie Cariès, Raoul Fernandez, Thomas Gonzalez, Anaïs Muller, Stanislas Nordey, Véronique Nordey, Thierry Paret
production Théâtre Vidy-Lausanne
coproduction Théâtre National de la Colline; Théâtre National de Bretagne/Rennes; Compagnie Stanislas Nordey; La Comédie de Saint-Étienne, Centre dramatique national; Théâtre National de Strasbourg
avec le soutien de Pro Helvetia – Fondation Suisse pour la culture

Création au Théâtre Vidy-Lausanne (salle Charles Apothéloz) le 3 mars 2015
Théâtre National de Bretagne, Rennes
17.3. – 21.3.
La Comédie de Saint-Étienne
27.4 – 29.4.
La Colline – théâtre national
12.5. – 6.6.

3 mars 2015/par Dossier de presse
Partager cette publication
  • Partager sur Facebook
  • Partager sur X
  • Partager sur WhatsApp
  • Partager sur LinkedIn
  • Partager par Mail
  • Lien vers Instagram
0 réponses

Laisser un commentaire

Rejoindre la discussion?
N’hésitez pas à contribuer !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans le moteur de recherche, plus de 22 000 spectacles référencés

© Sceneweb | Création site et Maintenance par Limbus Studio
  • L’actualité du spectacle vivant
  • Qui sommes-nous ?
  • Newsletter
  • Politique de confidentialité
  • Signaler un abus
  • Contact
  • Politique de cookies (UE)
Faire défiler vers le haut