Figure de proue de la photographie contemporaine, l’artiste plasticien japonais Hiroshi Sugimoto sonde le monde en devenir et interroge le passage du temps. Invité pour la première fois à l’Opéra national de Paris, il s’associe au chorégraphe Alessio Silvestrin, ancien collaborateur de William Forsythe, pour une création avec les danseurs de la Compagnie. Blake Works I, sur une sélection de chansons du compositeur James Blake, est la dernière pièce de Forsythe pour le Ballet de l’Opéra. On y retrouve sa signature si particulière, dans une chorégraphie qui brille par sa vélocité et son énergie.
At the Hawk’s Well
D’après William Butler YeatsMusique :
Ryoji IkedaChorégraphie :
Alessio SilvestrinMise en scène :
Hiroshi SugimotoScénographie :
Hiroshi SugimotoCréation sonore :
Ryoji IkedaCostumes :
Rick OwensBlake Works I
Musique :
James BlakeChorégraphie :
William ForsytheScénographie :
William ForsytheCostumes :
William Forsythe
Dorothée MergLumières :
William Forsythe
Tanja RühlLes Étoiles, les Premiers Danseurs et le Corps de Ballet
Musique enregistréeAvec la collaboration de l’Odawara Art Foundation
Palais Garnier – du 19 septembre au 15 octobre 2019
Je laisse un commentaire sur l’oeuvre de HIROSHI SUGIMOTO: une musique, non un bruitage sans intérêt, une chorégraphie insipide, que les danseurs n’arrive pas à rendre intéressante. La seule chose qu’on voit, c’est que SUGIMOTO « se la pète » bien au delà du supportable. Ah, j’oubliais, les costumes sont le summum de la mocheté. Comme disait ma grand-tante: « je suis content de l’avoir vu, je sais que je ne recommencerai plus jamais ».
Heureusement que Forsythe nous enchante avec ses pas de classique « jazzifié ». Un vrai régal.
Je laisse un commentaire sur l’oeuvre de Forsythe : une musique, non un bruitage sans intérêt, une chorégraphie insipide, que les danseurs n’arrive pas à rendre intéressante. La seule chose qu’on voit, c’est que Forsythe “se la pète” bien au delà du supportable. Ah, j’oubliais, les costumes sont le summum de la mocheté. Comme disait ma grand-tante: “je suis content de l’avoir vu, je sais que je ne recommencerai plus jamais”.
Heureusement que Sugimoto nous enchante avec sa mise en scène et son jeu de lumière , apportant une atmosphère unique. Un vrai régal.