4 septembre 1998. C’est le concert du siècle. Johnny au Stade de France. Pour la première fois. Devant 80 000 fans. Tout a été finement préparé depuis un an. Il est prêt. Il en veut. Et pourtant… En coulisse c’est la panique. Car la pluie a décidé de venir jouer les trouble-fêtes. Une soirée catastrophique donc. Que je vais vous raconter. En musique. Mais pas tout seul. En invitant d’autres personnages qui vont nous raconter Johnny. Son univers. J’ai voulu donner la parole à ceux qui l’ont fait souffrir. Celles qui l’ont aimé. Ceux qui vivent à travers lui. J’ai voulu vivre ses moments de joie, ses moments de peine. J’ai voulu suer comme lui en chantant ses chansons. Pour tenter de répondre à cette question : Qui es-tu Johnny ? Un dieu que l’on appelle « L’idole des jeunes » ? Ou simplement un être humain ?
« Je ne suis pas Johnny » Une pièce écrite, mise en scène et interprétée par Guillaume Marquet Musiciens : Benoît Chanez – guitariste, Samuel Domergue – batteur, Christophe Fossemalle – pianiste, Isabelle Sajot – violoncelliste
Lumières Franck Thevenon – Conception musicale Christophe Fossemalle Costumes Elisabeth Cerqueira – Créateur sonore Jean-Marc Istria Attachés de presse Pascal Zelcer et Jean Philippe Rigaud
PRODUCTION Atelier Théâtre Actuel, Sésam’ Prod, Canal 33, La Pépinière Théâtre Avec le soutien de l’Adami, la SPEDIDAM et Copie Privée
Théâtre La Flèche, Paris
Les vendredis à 21h, du 10 octobre au 12 décembre
Pièce fabuleuse vue ce soir mercredi 24 juillet. Guillaume Marquet drôle amusant fabuleux homme orchestre et respectueux de Johnny
A voir absolument.
Se joue jusqu’au 28 juillet
Excellent spectacle très complet : de la très bonne musique (plusieurs chansons de Jonnhy), de la réflexion sur l’idolâtrie, de l’humour, beaucoup d’émotion.
C’est vraiment une pièce à voir.
Pièce fabuleuse vue ce soir mercredi 24 juillet. Guillaume Marquet drôle amusant fabuleux homme orchestre et respectueux de Johnny
A voir absolument.
Se joue jusqu’au 28 juillet
Excellent spectacle très complet : de la très bonne musique (plusieurs chansons de Jonnhy), de la réflexion sur l’idolâtrie, de l’humour, beaucoup d’émotion.
C’est vraiment une pièce à voir.