Ce solo est conçu comme un dialogue entre deux nécessités qui s’entrecroisent : la quête métaphysique et la lutte émancipatrice. De ces deux approches apparemment antinomiques ressort un thème central qui est celui du double. Corps réel, corps imaginaire. Corps apparent, corps potentiel. Corps rebelle mû par une généalogie fantasmée et le corps mû par une autre utopie, existentielle celle-ci.
J’habite une blessure sacrée
Chorégraphie & interprétation :
Max Diakok
Dramaturgie : Lucile Perain
Vidéo & scénographie :
Claudio Cavallari
Musique originale : Rico Toto
Lumière : Johann ChauveauRésidences : Centre de Danse du Galion – MJC Noisiel -Théâtre Golovine – Raviv – La chaufferie Cie DCA Decoufflé – CND (prêt studio)-Conservatoire de St Denis.
Soutiens : Ministère des Outre Mer, CGET, Mairie de Paris, SACD
Ville de Saint-Denis, SPEDIDAM3 avril 2018 | 19h30
Théâtre Golovine (Avignon, 84)4-5-6-7-8 juillet 2018 | 19h
Gare au théâtre – Festival Nous n’irons pas à Avignon (Vitry 94)
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