
succès. À son drame psychique des fausses passions, Scholz associe la musique d’Hector Berlioz ; ses emprunts, intégrés avec une parfaite adéquation, sont extrêmement divers, puisqu’ils comprennent aussi bien Le Corsaire, Les Troyens, Harold en Italie, Béatrice et Bénédict, Roméo et Juliette, Le Carnaval Romain, que le Te Deum et la Symphonie Funèbre et Triomphale. Les décors et les costumes de Businger évoquent l’époque avec retenue :
l’Empire, tel qu’on le voyait du temps de Stendhal. La Scala de Milan a repris Le Rouge et le Noir en 1995 (avec Massimo Murru dans le rôle de Sorel), imitée quelques mois plus tard par le Ballet de Dresde (avec Vladimir Derevianko), moyennant, dans les deux cas, quelques adaptations, ce dont Scholz est coutumier. L’ouvrage n’est arrivé à Leipzig qu’en 2002 (avec Joan Boix). Dossier de presse.
Ballet en trois actes
Pour 36 danseurs
Chorégraphie
Uwe Scholz
Musique
Hector Berlioz
Direction musicale
Myron Romanul
Décors
Philippe Miesch
Costumes
Thibaut Welchlin
Lumières
Maryse Gautier
Assistants à la chorégraphie
Giovanni Di Palma,
Léon Montserrat
Ballet de l’OnR
Orchestre philharmonique
de StrasbourgDurée : 2 h 10 environ
avec entracteSTRASBOURG
Opéra
me 11 janv. 20 h
je 12 janv. 20 h
ve 13 janv. 20 h
sa 14 janv. 20 h
di 15 janv. 15 h
COLMAR
Théâtre
sa 21 janv. 20 h*
di 22 janv. 15 h*
MULHOUSE
La Filature
sa 28 janv. 20 h
di 29 janv. 15 h
ma 31 janv. 20 h



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