La nuit suivant le succès remporté par le jeune et beau poète Agathon lors d’un concours de tragédie, quelques messieurs de la haute société athénienne se retrouvent dans sa demeure, pour fêter l’événement autour d’un symposium, autrement dit une « beuverie collective ». Phèdre annonce au menu de la soirée un éloge de l’amour prononcé par chacun des convives. S’ensuivent libations et beaux discours… Socrate les rejoint au milieu de la fête ; après les avoir écoutés, il rompt brutalement le ton et se déclare incapable de prononcer des discours aussi séduisants que persuasifs et, par conséquent, il ne se déclarera pas. Après avoir envisagé de quitter la réception, il fait intervenir le point de vue de la prêtresse Diotime, laquelle démontre de quelle manière l’amour et la philosophie peuvent se confondre, avant de disparaître aussi vite qu’elle était apparue. Alcibiade, dans un état d’ébriété avancé rejoint le symposium, se fait sermonner par ses amis et prononce à son tour un discours
Le Banquet
Ou l’Éloge de l’amour d’après Platon
adaptation, mise en scène, scénographie — Christine Letailleur
lumière — Stéphane Colin
son — Manu Léonard
assistante à la scénographie — Bénédicte Jolys
assistante à la mise en scène — Jessica Batut
avec Philippe Cherdel, Julie Duchaussoy, Christian Esnay, Manuel Garcie-Kilian, Jonathan Genet, Simon Le Moullec, Elios Noël.
Mettre en Scène création
jeudi 8 et vendredi 9 novembre
mardi 13 au vendredi 16 novembre
mercredi 21 et jeudi 22 novembre
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