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Hors-Série n°4 au Théâtre de la Bastille

Danse, En bref, Paris, Théâtre

Cartographies/Petites conférences théâtrales sur des endroits du monde

écriture, conception et interprétation Frédéric Ferrer

Au départ, il est question d’une expérience et d’une polémique scientifiques, cherchant à expliquer les changements climatiques actuels dans l’Arctique. L’affaire est sérieuse et les interrogations persistent : où sont passés les quatre-vingt-dix canards en plastique jaunes lancés par la NASA ? Le Groenland ou « green land » découvert par le Viking Erik le Rouge était-il vert ? Réunissant ses deux passions pour la géographie et le théâtre, Frédéric Ferrer joue au vrai-faux conférencier et mène son enquête. PowerPoint à l’appui, il développe ses hypothèses, analyses et résultats. Mais le raisonnement rigoureux et documenté se teinte d’absurde. L’objectivité scientifique glisse peu à peu vers une réalité détournée, inattendue et… sérieusement drôle.

à la recherche des canards perdus les 7 et 10 février à 19 h 30, le 11 février à 18 h

Les Vikings et les satellites les 8 et 11 février à 19 h 30

La Mort d’Ivan Ilitch

mise en scène et scénographie Yves-Noël Genod

L’apparition de l’image supposant une conjoncture, on reçoit du noir. Puis du corps. Un garçon. Son corps (caravagesque), traversé. Sa voix (chansons rimbaldiquement idiotes, c’est-à-dire : bouleversantes). Le corps traverse le noir. Un néon. Un art par définition incertain. Qui d’autre qu’Yves-Noël Genod pouvait revisiter quelque chose d’un nu masculin sans escalier?

C’est animal. C’est admirable. D’une pudeur inconnue, neuve. Ça rejoint la phrase de Tolstoï : « à la place de la mort, il y avait la lumière ». Un pur purin. Un éclairage dans l’après-coup et qui viendra donner un sens à cette nouvelle expérience (avoir vu une oeuvre aussi inclassable que La Mort d’Ivan Ilitch) et savoir quoi en faire. Dans sa vie. Car, l’art, c’est ce qui nous aide à vivre, non ?

les 7 et 8 février à 21 h et dimanche 12 février à 18 h

Nouvelle création (titre à venir) mise en scène Yves-Noël Genod

les 10 et 11 février à 21 h

La rivière bien-nommée  soixante minutes pour être de son temps

écriture, scénographie et jeu Patrick Corillon

La Rivière Bien-Nommée est une performance durant laquelle Patrick Corillon manipule des livres-objets pour incarner un récit de voyage. Réunis autour d’une boîte aux trésors, les spectateurs peuvent écouter le narrateur raconter sa quête des origines de la légende de La rivière Nommée. Le mécanisme des objets, les illustrations, la typographie, la musique et la voix sont réunis au service du récit, à la façon des cantastories ou des kamishibai, ces petits théâtres de papier ambulants où les images servaient aux chanteurs et musiciens de points de départ pour raconter leurs histoires. Cet art traditionnel, dont on trouve les premières traces dans l’Inde du VIe siècle de notre ère, a traversé les époques et les frontières jusqu’à la nôtre. La Rivière Bien-Nommée est l’occasion de revisiter cette forme de narration pour évoquer la difficulté d’être vraiment de son époque quand on est imprégné de tant d’histoires qui ont traversé le temps.

les 14, 15 et 16 février à 19 h 30

A-maze, chorégraphie et interprétation Martin Bélanger

Sur le sol, une carte. Sur la carte, Martin Bélanger, interprète et chorégraphe québécois. Très vite, les repères se brouillent, et, de paroles en mouvements, le chorégraphe-interprète nous incite à réviser nos perceptions : tout espace est d’abord une construction ; tout espace est d’abord un labyrinthe : A-maze.

C’est une bonne nouvelle, car il reste à le parcourir. De manière poétique, philosophique et ludique, Martin Bélanger nous invite à une exploration qui se donne parfois des airs de science-fiction, entre éternel retour et retour vers le futur. La linéarité éclate et la pièce force un regard contemplatif, hypnotique. L’intérieur et l’extérieur se renversent et se confondent, se télescopent, l’espace n’est plus tant un lieu qu’un point de vue à partir duquel se déploient les possibles.

les 14, 15, 16 et 17 février à 21 h

Théâtre de la Bastille

Tarif unique : 14 € la place

20 € pour deux spectacles

30 janvier 2012/par Dossier de presse
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