Marie-Bernadette Philippon souffre de la maladie d’Alzheimer, elle s’est mise à danser et sa danse apparaît comme un nouveau langage. Le corps parle malgré qu’il soit contraint ou empêché.
Sa danse nous fait voyager à travers les espaces, le privé et le public, le contraint et l’infiniment grand, l’intime et le monde. Que reste-t-il de nos mémoires communes ou singulières?
En contrepoint, la partition menée par Malika Djardi, sa fille qui est chorégraphe et danseuse, est un parcours rythmique et raconté. Quels gestes transmet-on? D’où proviennent-ils ?
Dialoguant avec la pratique détournée de danses sociales, un questionnement se dégage sur nos engagements et les souffrances que l’on traverse au court d’une vie à la fois destructrices et porteuses.
Martyre
Conception et chorégraphie
Malika DjardiInterprétation
Malika Djardi, Marie-Bernadette PhilipponRéalisation filmique et régie vidéo
Julien PerrinCréation musicale
Joseph Schiano Di LomboRégie son
Guilhem Sarkis DumasCréation lumière et scénique
Malika DjardiAssistante création lumière
Suzanna BauerCostumes
EloracMusiques utilisées
Le temps de l’amour, Tous les garçons et les filles, Comment te dire adieu de Françoise Hardy, C’est magnifique de Peggy LeeCoproductions et soutiens
Charleroi Danse; Le Dancing – Centre de Développement Chorégraphique National de Dijon; Aide à l’expérimentation: RAMDAM Un Centre d’art; Saison Montpellier Danse 2022/2023 dans le cadre de l’accueil en résidence à l’Agora cité internationale de la danse; Le Gymnase – Centre de Développement Chorégraphique National de Roubaix; CCN Ballet National de Marseille dans le cadre de l’Accueil Studio, Centre National de la Danse à Pantin et à Lyon, BIRD Studio St Rémy de ProvenceFestival de Marseille
17 et 18 juin 2024
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