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Discours de la servitude volontaire de La Boétie par François Clavier

Agenda, Avignon, Festival, Off, Théâtre

« Quand j’ai découvert ce texte, au printemps 2010, il m’a littéralement sauté à la figure ! Comment un jeune homme du XVIe siècle pouvait-il me parler aussi directement, aussi clairement, à moi, citoyen français cinquantenaire du XXIe ?

Nous avons répété avec passion, François Clavier et moi, durant l’automne, pour donner corps à cette belle pensée. Et brusquement, l’Histoire nous a rattrapés. Un vent de liberté s’est levé en Tunisie puis en Egypte, au Yémen, en Libye, en Syrie… Le texte de La Boëtie en devenait d’une actualité encore plus criante.

Mais la force du texte de la Boëtie est qu’il questionne bien au-delà de la tyrannie la plus violente, la plus visible. Dès lors qu’une société s’organise « verticalement », la servitude volontaire est à l’œuvre et, très souvent, elle agit de manière sournoise, parfois même à notre insu, à tous niveaux.

Les mois qui viennent, en France, vont être marqués par des échéances électorales importantes, cela n’aura échappé à personne.

Quelle que soit la définition que chacun peut se faire du mot « tyran », le Discours de la servitude volontaire pose tellement bien le problème des rapports pouvoir/peuple, les problèmes de la démocratie ou, tout simplement, du vivre ensemble, que ce projet devenait, pour moi, une évidence : le bon texte au bon moment. On ne questionne jamais assez ces notions fondamentales, n’est-ce pas ?

De plus, et ce n’est pas la moindre des qualités du texte de La Boëtie, ce discours philosophique se prête admirablement à l’oralité, comme s’il avait été écrit pour être dit. Beauté de la langue, force des images, adresse directe, métaphores fulgurantes… Un grand texte autant poétique que politique ! » La note d’intention de Stéphane Verrue.

Discours de la servitude volontaire de La Boétie

par François Clavier

Adaptation et mise en sc ène

Stéphane Verrue

Traduction en français moderne

Séverine Auffret, Édition Fayard

Off 2019
Du 05 au 26 juillet 2019
17h
Relâche les lundis
Théâtre de la BOURSE DU TRAVAIL/CGT
8 rue de la Campane. Avignon

10 janvier 2012/par Dossier de presse
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