A l’origine, il y a le désir collectif de confronter des pratiques artistiques et d’observer leurs spécificités, leurs analogies et leurs contradictions, leurs correspondances. Ainsi qu’une conception de la représentation : toutes les composantes en présence (le texte, la partition scénique, la lumière, la composition musicale) ont la même vocation à produire sens, sensations et structures.
Expérimental et évolutif, comprenant une part d’improvisation et d’aléatoire, Comme un zeppelin en flammes dans son vol de retour se compose d’entités autonomes, de cellules textuelles-visuelles-sonores qui construisent une structure ne répondant pas strictement à une logique narrative ou dramatique mais davantage à une logique de résonnance, de porosité, d’échos obsessionnels et de ruptures nettes.
Si chacun a une approche expérimentale de sa discipline, l’enjeu est que le rapprochement soit lui aussi de l’ordre de l’expérimentation. C’est pourquoi notre processus de création a une incidence directe sur le spectacle. Le processus n’est pas seulement un moyen, il devient lui-même matériau de la représentation. D’après dossier de presse.
COMME UN ZEPPELIN EN FLAMMES DANS SON VOL DE RETOUR
Textes SIMON DIARD
Interprétation FANNY BOUFFORT
Création sonore VINCENT MALASSIS
Lumières FABIEN BOSSARD
Compagnie Planches-Contacts
Avec le soutien de la Maison Zusvex (Parigné) et du Théâtre du Cercle (Rennes)
Première ouverture au public le 20 janvier 2012 au Théâtre du Cercle (Rennes)
Représentations les 15, 16 et 17 mai 2012 à La Loge (Paris)
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