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Fragment d’Adeline Picault

Agenda, Paris, Théâtre

Flash. Sur ces corps pris et épris manger de l’Art. Dix. Neuf. Huit. Sept. Se pixéliser ensemble pour s’inventer. Six. Cinq. Quatre. L’inévitabilité de cet amour fou. Trois. Deux. La violence aussi. Un. Zéro. Ben et Lou. Cinq. Quatre. Vivants de mourir souvent. Trois. Deux. Lou et Ben. Un. Zéro. Infinis amants de confusion. Dix. Il prend des photos. Neuf. Elle pose se dépose en lui. Huit. Ils, danseurs de leur image cassée. Sept. Ils, prier quelques ombres. Six. Pour se trouver. Cinq. Leurs nuits font silence. Quatre. A ce vacarme de visages. Trois. Où la mort azure leur étreinte. Deux. A trop se regarder. Un. Se perdre. Zéro. Ne plus bouger jamais. Trois. Deux. Un. Zéro. Photo.

Fragment c’est la rencontre de Lou et Ben. C’est le regard de Ben qui se pose sur cette femme, en même temps que l’envie, le désir fou, l’obsession de la photographier pour mieux l’aimer. C’est cette écorchure d’une histoire quise vit comme un art, ne l’effleurant jamais, trop consumée par ses mathématiques de corps et de douleurs. C’est le compte à rebours d’une fin à deux et ensemble, seul aussi. C’est être des coeurs couloirs que tout traverse sans cesser jamais cette danse, cette marche, ce battement. C’est un photographe qui aime une femme. C’est Lou qui se plaît à se rencontrer sous la lampe des négatifs et des clichés de Ben. Fragment, c’est une humanité qui fait avec ses lambeaux et ses assemblages pour rêver plus grand et lever les yeux. Note d’intention d’Adeline Picault

F r a g m e n t

D’Adeline Picault

mise en scène Françoise covillault & arthur harel / avec arthur harel /

création sonore Corentin giniaux / scénographie marine brutti & jonathan debrouwer

avec le soutien de : Initiatives d’Artistes en Danses Urbaines (Parc de la Villette – Fondation de France – avec le soutien de la Caisse des dépôts et consignations), Centre de danse du Galion – Aulnay-sous-Bois, Centre National de la Danse, Centre d’Animation Dunois, mairie du 13e, École Supérieure d’arts appliqués Duperré, la ligue de l’enseignement et avec l’aide d’Arcadi dans le cadre des plateaux solidaires

Les déchargeurs

21h30 / mardi au samedi / 03 au 21 mai 2011

1 mai 2011/par Stéphane Capron
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