Pièce de Thierry Debroux, Mademoiselle Frankenstein ressuscite l’énigmatique Mary Shelley le temps d’une rencontre déroutante où le mythe du créateur et de la créature est revisité.
Par une nuit d’orage en 1816, à Cologny/ Genève, dans la villa Diodati, Mary Shelley, âgée de 19 ans, imagine le dernier mythe de l’humanité: Frankenstein. Quelques années plus tard, Mary Shelley est séquestrée par un certain Lazzaro Spallanzani. Celui-ci veut à tout prix savoir comment une jeune femme a pu inventer un récit aussi terrifiant. Mais même s’il pressent une secret terrible derrière la création de ce chef d’oeuvre, il est loin d’imaginer ce qu’il va découvrir. L’univers baroque de Thierry Debroux, mis en scène par Georges Guerreiro et interprété par Aline Gampert et Frédéric Landenberg, fait naviguer le spectateur entre le réel et la fiction, la liberté et la manipulation le tout dans un face en face enivrant.
Jusqu’au 23 avril à 19h au Théâtre du Lucernaire
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