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La joie contagieuse de Clara Hédouin
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Critique de Vincent Bouquet
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Avec son adaptation du roman de Jean Giono, Que ma joie demeure, la metteuse en scène éblouit le public du Festival d’Avignon. Portée par six excellents comédiens, sa balade théâtrale au petit matin, où les Hommes et la Nature s’unissent pour ne faire qu’un, frappe les esprits autant qu’elle touche les coeurs.
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all of it : l’écriture peut-elle contenir toute une vie ?
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Critique de Marie Plantin
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Dans le cadre d’une programmation qui fait la part belle à la langue anglaise, le public du Festival d'Avignon découvre l’écriture hypnotique d’Alistair McDowall. Un spectacle en trois parties, trois monologues comme des flux poétiques et intimes portés, sans ciller, par la comédienne Kate O’Flynn. Un travail d’une rigueur remarquable qui se met au service d’une langue captivante. Quel serait …
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Dispak Dispac'h, conversations fertiles
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Critique de Caroline Châtelet
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Au Festival d'Avignon, Patricia Allio et l'équipe réunie autour d'elle invitent dans un geste politique puissant, aussi articulé que cohérent, à ne pas éluder la responsabilité et la nécessité d'actions face à la violence et à l'inhumanité des politiques migratoires. Après avoir accueilli le public, Patricia Allio explique en guise de prologue que « dispak » signifie en breton « …
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ANGELA (a strange loop), de la boucle à l'ellipse
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Critique de Caroline Châtelet
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Création présentée au Festival Avignon, avant le Festival d'Automne à Paris, ANGELA (a strange loop), co-conçue par Susanne Kennedy et Markus Selg, ne convainc pas au-delà de son système formel.
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Milo Rau met Antigone au défi du présent
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Critique de Vincent Bouquet
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Avec Antigone in the Amazon, le metteur en scène suisse déplace le mythe de Sophocle en terres amazoniennes, dans la région de Pará, où l'agro-industrie brésilienne menace la forêt autant que les peuples. En collaboration avec le Movimento dos Trabalhadores Sem Terra (MST), il accouche d'un dialogue aux entrées multiples où le discours politique prime parfois sur l'intensité théâtrale. Sur …
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En Atendant, pas de miracle au Cloître
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Critique d'Igor Hansen-Love
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Après son enchantant EXIT ABOVE, Anne Teresa De Keersmaeker reprenait En Atendant, une pièce créée il y a treize ans au Festival d'Avignon. Ce mariage entre la danse et le déclin du jour s'avère, contre toute attente, décevant et d’une âpreté presque désagréable. Certains l’évoquaient comme un miracle ; En Atendant de la chorégraphe belge Anne Teresa De Keersameker. C’était …
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À La Belle Scène Saint-Denis, on y danse aussi
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Critique de Christophe Candoni et Belinda Mathieu
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La Belle Scène Saint-Denis investit comme chaque année la Parenthèse à Avignon où elle promeut sa jolie constellation d’artistes. Un premier programme interroge quelle place occuper dans le monde, comment s’affranchir et s’affirmer, un deuxième mêle danse et théâtre, quand un troisième explore les questions d’identité. Passage en revue de nos coups de coeur.
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Avec Résilience mon cul, Joël Maillard tord le rire
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L’artiste suisse se risque au stand-up et en déjoue les codes sans jamais s’en moquer. Au contraire. L’humour frontal se plie suivant les courbes de ses facétieuses arabesques en une spirale comique sans cesse surprenante. Un voyage sinueux vers une société de bienveillance et de dérision où l’on se marrerait tous et tout le temps.
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Critique de Caroline Châtelet
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Porté par la Blah Blah Blah Compagnie, OURK offre un concert stimulant accessible à tous les âges, aussi touffu et riche musicalement que généreux formellement.
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Camus-Casarès, ou l’amour épistolaire
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Critique de Marie Plantin
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C’est dans une salle minuscule et haut perchée de La Scala Provence que l’on découvre ce spectacle intimiste et bouleversant, signé d’un geste rigoureux et sensible par Elisabeth Chailloux, qui plonge dans la correspondance d'Albert Camus et Maria Casarès pour porter à la scène une sélection de leurs lettres enflammées. Et les deux monstres sacrés, éperdument complices et amoureux, de …
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Cap à l’Est au Théâtre des Halles
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Critique de Marie Plantin
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Le Théâtre des Halles regarde vers l’Est en proposant, au sein d’une programmation exigeante et aiguisée, un focus sur la Roumanie. Deux spectacles d’Alain Timár, directeur du lieu et metteur en scène, sont présentés dans ce cadre : Rinocerii de Ionesco en matinée et Occident-Express de Matei Vișniec en soirée. Une création qui entraîne, en un voyage sur place, dans …
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