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A la Une
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Aurore Fattier : « Diriger en artiste est une question passionnante »
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Interview de Vincent Bouquet
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Installée à Bruxelles depuis ses débuts, la metteuse en scène a pris, le 1er janvier dernier, la suite de Marcial Di Fonzo Bo à la tête de la Comédie de Caen, où elle compte développer un projet centré sur l'ouverture et la transmission. Ces dernières années, vous avez essentiellement travaillé en Belgique avec de grands lieux de la Fédération Wallonie-Bruxelles. …
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Sébastien Kheroufi entre dans « Par les villages » en « barbare »
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Avec Par les villages, Sébastien Kheroufi fait une forte et étonnante irruption dans le paysage théâtral. Très personnelle, répondant à un désir de représenter au théâtre le milieu de la cité dont il est issu, sa transposition du texte de Peter Handke en incarne toute la portée poétique et politique. La puissance de ce geste, sa « barbarie » qui rassemble excuse bien des maladresses.
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Cartographie imaginaire, pour l’indiscipline des cartes
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Critique de caroline châtelet
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Avec Cartographie imaginaire, la Compagnie Le 7 au soir mêle théâtre d’objets, scénographie manipulée, inventivité plastique et vidéos pour raconter l’histoire de l’arpentage contrarié d’un territoire à la vie entravée.
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Critique de Marie Plantin
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Avec une infinie délicatesse, Eric Massé adapte pour le jeune public Les Mots qu'on ne me dit pas, le roman de Véronique Poulain qui retrace son parcours d’enfant entendante issue de parents sourds. Après Malentendus qui racontait l’inverse, le metteur en scène change de point de vue et d’adresse pour creuser avec finesse un sujet sensible. A l’origine de ce …
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FOR YOU / NOT FOR YOU, un concert en pièces détachées
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Critique de Belinda Mathieu
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La chorégraphe Solène Wachter donne un concert pop en kit, où une danse presque utilitaire sert un show grandiloquent, en plusieurs espaces et personnages, que l'on se plaît à reconstituer. C’est le concert d’une pop star, décomposée en plusieurs scènes et personnages. Il est porté par une femme en jogging serti d’une bande de strass : Solène Wachter. Dans ce …
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La Nuit Américaine se nourrit de belles "Illusions"
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Yordan Goldwaser poursuit avec sa compagnie La Nuit Américaine son chemin avec Ivan Viripaev. Leur mise en scène d’Illusions (comédie) nous plonge avec un délicat mélange d’humour et de gravité dans un récit où le métaphysique prend des airs très quotidiens. Où en douceur, les codes théâtraux sont bousculés pour dire le désordre de l’époque. La comédienne Jeanne Lepers qui …
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Théâtre sur table et musique de mains
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Critique de Marie Plantin
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Passée par la Pop et le Nouveau Théâtre de Montreuil avant Covid, cette performance insolite trouve une seconde vie dans l’écrin de la salle Christian-Bérard de l’Athénée. Une excellente nouvelle tant ce trio à la barre d’une partition signée Thierry de Mey gagne à être écouté. Entre théâtre, musique et danse de mains, Musique de tables est une forme brève …
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Eloge du culot au féminin
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Critique de Marie Plantin
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Grâce à l’adaptation ingénieuse et intelligente de Justine Heynemann et Rachel Arditi, la BD de Pénélope Bagieu passe la rampe de la scène avec panache. Culottées en mode cabaret déploie une distribution haut de gamme, des séquences totalement réjouissantes et une dynamique de récit bien troussée. Et trouve un écrin parfait au Studio-Théâtre de la Comédie-Française. Elles viennent de tous …
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Rohtko : la pâle copie de Łukasz Twarkowski
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Critique de Vincent Bouquet
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Aux Ateliers Berthier du Théâtre de l’Odéon, le jeune metteur en scène polonais prend appui sur la figure du peintre américain Mark Rothko pour échafauder une critique convenue de la marchandisation de l’art où la débauche de moyens scéniques n’a d’égal que l’étonnante faiblesse du propos.
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Critique de Marie Plantin
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Avec Un Conte d’automne, Julien Fisera s’inspire des albums jeunesse de Catharina Valckx pour raconter la rencontre de deux fillettes en marge dans un univers ouvertement fantaisiste. Si le spectacle génère des images superbes et de jolies inventions langagières, il peine cependant à nous transporter plus loin que sa situation première.
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Comme le nageur au fond des mers, dans des abysses de perplexité
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Les entrelacs du présent et du passé tissés par Bérangère Jannelle ne dépassent pas le stade des (bonnes) intentions. Comme le nageur au fond des mers, sa dernière création, malgré une véritable audace formelle échoue à partager sa poésie.
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Un Passeport pour le pays des Bisounours
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Critique de Vincent Bouquet
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Au Théâtre de la Renaissance, le dramaturge et metteur en scène Alexis Michalik livre une nouvelle odyssée politico-sociétale qui, malgré le talent et l'engagement des sept comédiennes et comédiens présents au plateau, tend, à force d'angélisme, à gommer l'extrême dureté du quotidien des exilés. Sur le sol de la mal-nommée « Jungle de Calais », un jeune homme agonise. Victime …
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Groupe Fantôme s'enlise dans le "Futur"
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Dans Futur, le Groupe Fantôme s’intéresse à l’utopie. Entre récit d’une expérience utopique et tentative d’en créer une au plateau, où il convoque de nombreux langages sans en creuser aucun, le collectif perd de vue son objectif, à long comme à court terme. « Le théâtre ne pourrait-il pas être le lieu possible de l’utopie ? ». Avec cette question qu’ils se posent …
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Colette survolée en mode cabaret
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Critique de Marie Plantin
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La bonne idée que de déployer la vie de Colette au plateau dans une esthétique de Music-Hall ! Malheureusement, le résultat, mis en scène par Léna Bréban, avec Cléo Sénia (en co-écriture avec Alexandre Zambeaux) seule en scène, déçoit et nous laisse sur notre faim. De beaux numéros en vue mais l’ensemble passe un peu à côté de son sujet. …
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Auteur, metteur en scène, comédien et scénariste, Amine Adjina a créé, avec Émilie Prévosteau, la compagnie du Double, au sein de laquelle ils mettent en scène ses propres textes. Cette semaine, il sera sur scène au Théâtre des Quartiers d'Ivry, pour la création Par les villages de Peter Handke dans la mise en scène de Sébastien Kheroufi. Avez-vous le trac …
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