CDN Orléans bas de page
logo120

A la Une

Les sacres de Germaine Acogny

Interview de Philippe Noisette

La chorégraphe Germaine Acogny recrée Le Sacre du printemps de Pina Bauch avec une troupe de danseurs africains. Au cours de la même soirée, elle présente common ground avec Malou Airaudo, ancienne soliste chez Pina Bausch. Après plusieurs reports, le spectacle est présenté à La Villette dans le cadre de la saison du Théâtre de la Ville. Parlez-nous de la …

En savoir plus
/ itw / Les sacres de Germaine Acogny

Au Temps d’aimer la danse, le quadrille politique entre Pays basque et Caraïbes

Par Belinda Mathieu

Au Festival le Temps d’aimer la danse à Biarritz se tenait un focus qui faisait dialoguer les quadrille basque et créoles, à travers discussions, chorégraphies et initiatives. Un dialogue fructueux entre des héritages lointains d’un point de vue géographique, mais proches d’un point de vue politique. Le quadrille, c’est une danse par pair, aux allures géométriques, née au XIXe siècle, …

En savoir plus
Au Temps d’aimer la danse, le quadrille politique entre Pays basque et Caraïbes

Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies des Jeux Olympiques de Paris 2024

Le Comité d'Organisation des Jeux Olympiques a choisi le metteur en scène Thomas Jolly, directeur du CDN Le Quai à Angers, pour assurer la direction artistique des quatre cérémonies des Jeux Olympiques de Paris 2024 (ouverture et clôture des JO d'été et des JO paralympiques). Thomas Jolly succède à Philippe Decouflé qui avait mis en scène la cérémonie d'ouverture des …

En savoir plus
Thomas Jolly

Reportage

Les jeunes pousses de la Maison Maria Casarès

Par Igor Hansen-Love

Dans le village d’Alloue, en Charente, Johanna Silberstein et Matthieu Roy ont dévoilé quatre créations initiées à la Maison Maria Casarès qu’ils dirigent depuis 2017. Autant de spectacles prometteurs, réalisés par de jeunes artistes qui devraient s’imposer dans le paysage théâtral ces prochaines années. Johanna Silberstein et Matthieu Roy, le jeune couple de directeurs de la Maison Maria Casarès, située …

En savoir plus
/actu / Les jeunes pousses de la Maison Maria Casarès

Les critiques

Vanasay Khamphommala enterre le chagrin d’amour

Critique d'Anaïs Heluin

Dans Écho, Vanasay Khamphommala se penche avec sa compagnie Lapsus Chevelü sur la figure de la nymphe dévastée par son amour pour Narcisse. Dans une démarche queer, elle fait du plateau un espace sublime de et pour toutes les identités possibles. Lesquelles font cause commune autour du chagrin d’amour, qu’elles enterrent par un bouleversant rituel où cohabitent douleur et douceur, …

En savoir plus
/ critique / Vanasay Khamphommala enterre le chagrin d’amour

Jours de joie et soir d’espoirs au Théâtre de l’Odéon

Critique de Vincent Bouquet

Le metteur en scène Stéphane Braunschweig poursuit son compagnonnage fructueux avec l'auteur norvégien Arne Lygre et s'empare, avec délicatesse et élégance, de sa dernière pièce où, au long d'histoires de vie entremêlées, l'humanité refait surface. C'est un lieu calme et paisible, à l'abri du tumulte du monde. Un endroit méconnu, pensent-ils, propice à la réflexion, aux confidences et aux rendez-vous, …

En savoir plus
Stéphane Braunschweig monte Jours de joie d'Arne Lygre au Théâtre de l'Odéon

Un Roméo et Juliette « gender fluid » entre danse et cinéma

Critique de Christophe Candoni

Un couple de garçons dansait les rôles-titres de Roméo et Juliette pour ouvrir le bal des représentations données à la Seine Musicale d'une version du ballet renouvelée par Benjamin Millepied et maximalisée par l’usage de la vidéo en direct. Chaque soir, le couple phare de Roméo et Juliette est incarné par un nouvel alliage : ce sont deux hommes, un …

En savoir plus
/ critique / Un Roméo et Juliette « gender fluid » entre danse et cinéma

Du XVIIIème aux fifties, Stavisky ravive Goldoni

Critique d'Eric Demey

Aux Célestins, à Lyon, Claudia Stavisky réussit son pari de transposer les trois comédies de La trilogie de la villégiature du vénitien Goldoni en une longue saga italienne des années 50. Grâce à une troupe de talent, la critique de la bourgeoisie du XVIIIème prend aussi la forme d’une réflexion sur l’évolution des relations amoureuses et sociales. Une comédie de …

En savoir plus
/ critique / Du XVIIIème aux fifties, Stavisky ravive Goldoni

Avec La Freak, Sabine Pakora exorcise l’assignation

Critique de Fanny Imbert

Pour sa première création, la comédienne se livre dans un seule-en-scène et questionne les stéréotypes auxquels elle est confrontée dans son métier d’actrice en tant que femme noire et grosse. Au plateau, trois silhouettes étrangement identiques. Sabine Pakora est accompagnée sur la scène du théâtre de la Reine Blanche par deux statues de cire, présences étranges, inquiétantes de réalisme. Fabriquées …

En savoir plus
/ critique / Avec La Freak, Sabine Pakora exorcise l’assignation

A l'Opéra de Paris, le vide et le plein d'un ballet parlé-dansé

Critique de Christophe Candoni

Le Ballet de l’Opéra de Paris fait un début de saison déconcertant en présentant Cri de cœur, une vaste et poussive création qui croule sous les mots et la morosité du metteur en scène et chorégraphe norvégien Alan Lucien Øyen. D’abord les mots, après les corps. C’est ainsi que pourrait se résumer l’insolite projet proposé par l’artiste Alan Lucien Øyen, …

En savoir plus
/ critique / A l'Opéra de Paris, le vide et le plein d'un ballet parlé-dansé

Jérémy Lopez ressuscite Max Linder

Jérémy Lopez dans Max de Stéphane Olivié Bisson au Théâtre du Rond-Point
Critique de Vincent Bouquet

Au Théâtre du Rond-Point, le comédien-français redonne une âme à cette figure largement éclipsée par l’histoire du cinéma, malgré la trame textuelle trop scolaire de Stéphane Olivié Bisson. Qui connaît vraiment Max Linder ? Cet homme dont la mémoire collective retient, avant toute chose, qu'il a laissé son nom à un cinéma, le Max Linder Panorama, toujours situé au 24 …

En savoir plus

Il n’y a pas de Ajar : plaidoyer contre l’identité

Critique de Vincent Bouquet

Aux Plateaux Sauvages, Delphine Horvilleur érige le fils fictif d'Emile Ajar en porte-voix de la lutte contre les « obsessions identitaires », mais peine, malgré la performance de la comédienne Johanna Nizard, à ne pas se laisser happer par les amalgames. 3 juillet 1981. Aux commandes d'Apostrophes, Bernard Pivot révèle, sans barguigner, l'une des plus grandes supercheries intellectuelles du XXe …

En savoir plus
Johanna Nizard dans Il n'y a pas de Ajar de Delphine Horvilleur aux Plateaux Sauvages

Interviews

Soir de Première avec Bruno Raffaelli

Bruno Raffaelli, aujourd'hui Sociétaire honoraire de la Comédie-Française, restera à jamais le 500e Sociétaire de maison de Molière, nommé le 1er janvier 1998. Il n'avait jamais joué La Trilogie de la Villégiature de Goldoni, il sera cette semaine Filippo dans la mise en scène de Claudia Stavisky au Théâtre des Célestins. Avez-vous le trac lors des soirs de première ? …

En savoir plus
/ itw / Soir de Première avec Bruno Raffaelli

Carole Bouquet : « On ne peut pas trop jouer avec l'âge du rôle »

Interview de Rana Moussaoui - AFP

Après une large palette de rôles au cinéma et à la télévision, Carole Bouquet est de retour au théâtre. Elle est Bérénice, dans la mise en scène de Muriel Mayette-Holtz. Créé au Théâtre National de Nice, en mai, le spectacle est présenté à Paris, à La Scala. L'actrice est désormais convaincue qu'il ne faut pas s'éloigner de "l'âge réel" des personnages. …

En savoir plus
/ itw / Carole Bouquet : « On ne peut pas trop jouer avec l'âge du rôle »

L'actu de la semaine

Le spectacle vivant européen prépare sa révolution écologique à Strasbourg

100 professionnels·le·s du spectacle vivant se réunissent à Strasbourg au Maillon, les 5 et 6 octobre 2022 pour envisager des solutions afin de réduire l'empreinte carbone du secteur. Le dernier rapport du GIEC nous l'a redit : nous avons 3 ans pour inverser la tendance et réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre. Tous les secteurs sont …

En savoir plus
/ actu / Le spectacle vivant européen prépare sa révolution écologique à Strasbourg

Kaboul, le 15 août 2021 : la création d'artistes afghans réfugiés en Normandie

Lucie Berelowitsch, Marcial Di Fonzo Bo et Brice Berthoud, qui sont à la tête des CDN de Vire, Caen et Rouen présentent une mise en scène commune avec 11 artistes afghans réfugié.e.s en Normandie. Dans la nuit du 15 août 2021 Kaboul tombe aux mains des Talibans. Artistes, journalistes, militant·es sont les premiers menacé·es et doivent être évacué·es d’urgence. Face …

En savoir plus
/ actu / Kaboul, le 15 août 2021 : la création d'artistes afghans réfugiés en Normandie
FAB 2022 rectangle
facebook twitter instagram